Bonsoir OverSlash,

Pour information, vous n'avez pas donné suite à votre problème dans le forum-électricité :
Questions sécurité interdire retour de tension
Cordialement.

Salut,

Votre idée du VV à double bouton est bonne, à condition de penser à actionner les 2 boutons en même temps ou de les solidariser avec un bout d'adhésif transparent.
En Legrand vous pouvez composer votre appareillage dans les gammes Céliane ou Mosaic, mais ce n'est pas donné.

Plus simple et moins cher serait de mettre des repères 0 et I ou ON et OFF en haut et en bas de votre interrupteur.
Du 1er coup d'oeil, on repère si l'inter est en position allumée ou éteinte selon la position du bouton.
Sinon, on refait des interrupteurs rotatifs imitation porcelaine rétro où on repère facilement position verticale ou horizontale.

Attendons d'autres avis.
Bonne soirée.

Bonjour Loys.

Quand je faisais allusion à un interrupteur à double commandes, je ne parlais pas in d'un V/V ni d'un interrupteur double.
Ce dont à quoi je faisais allusion à un seul bouton et en l'actionnant cela permet de commander deux lignes différentes.
Toutefois la solution que vous décrivez j'y ai pensé aussi, mais je ne suis pas pour le bricolage avec de l'adhésif.

Chez Legrand j'ai regardé mais comme vous le dites le prix est exorbitant et en plus ne sera jamais avec le même design que celui que j'ai déjà.

J'ai pensé aussi à un module qui me permettrait de dissocier le retour du témoin avec la commande du détecteur, une sorte de relais monté sur le tableau qui me permettrait que lorsqu'il est alimenté par l'interrupteur interromprait la commande du détecteur et ainsi.

Pour les repères, j'ai déjà fait le test (dans des dépenses), malheureusement je suis encore le seul à savoir me repérer, c'est pourtant simple avec ON /OFF et un point sur chaque extrémité du bouton.
Mais une fois que chacun a tripoté les interrupteurs et ne sait plus si ils sont activés ou non, toute la petite famille l’appel à la rescousse. Faites l'essai chez vous, vous verrez au début c'est marrant, mais à force ça devient vite très énervant de tout le temps aller actionner ces interrupteurs pour les autres et de rabâcher toujours la même chose, au final je passe pour un grincheux.
Alors si en plus vient se rajouter le hall d'entrée je vais péter un câble lol !!!
A suivre...

Image du jour BricoVidéo
Pour agrandir l'image, cliquez dessus.


Photo Patrice Faro
En image "Montmartre" (Photo numérique Canon EOS 5D). Pour vous rendre à la basilique du Sacré-Cœur, à Paris dans le 18ème arrondissement, vous pouvez emprunter plusieurs chemins qui vous mèneront au sommet de la butte Montmartre. Pour les plus courageux vous pouvez utiliser les escaliers, prendre des rues en pente ou vous avez la possibilité de prendre le funiculaire.
L'image d'illustration proposée par BricoVidéo n'est pas forcément en relation avec le bricolage ou le sujet traité dans ce forum.

Dans ma réponse du dessus je voulais dire dépendances et non "dépenses".

Une autre solution possible qui sera sûrement réalisée si je trouve pas une solution.
Créer un autre point d’éclairage commandé depuis l’interrupteur que je désolidariserais de celui commandé par le détecteur.

Il suffit de mettre une diode 1N4004 en série sur le retour de lampe de votre inter.
Celle-ci bloquera le courant venant du détecteur et le laissera passer quand vous actionnerez l'inter.
Le détecteur n'allumera plus votre témoin.

Bonsoir.

2 idées :
- utiliser un interrupteur bipolaire font un des pôles servirait à l'alimentation du témoin,
- utiliser un télérupteur bipolaire don un des pôles servirait à l'alimentation du témoin et l'autre serait en parallèle du détecteur.

Bonjour. Quelques remarques en passant.

Citation :
Il suffit de mettre une diode 1N4004

Un peu hâtif ce conseil erroné et dangereux qui concerne un fonctionnement en alternatif.

Le fonctionnement envisagé est supposé engendrer des économies.
Le poste éclairage est le moins énergivore dans l'habitat, par rapport à tout le gros électroménager et le chauffage
En domestique, les solutions simples et peu couteuses sont à privilégier.

Citation :
je passe pour un grincheux.

C'est possible. Et seulement pour quelques Wh, des petites dizaines ou centaines de centimes d'euros.

Cordialement.

Merci de vos réponses.

CTM : ce que j'entendais par interrupteur à double commandes était un interrupteur bipolaire, mais je ne me souvenais pas du nom, j'en avais utilisé dans une installation en 1995.
Pour le télérupteur j'y ai aussi pensé, par contre je ne savais qu'il en existait des bipolaires.

GL : dans le contexte "je passe pour un grincheux" non pas pour des questions d'économies d'énergie et de quelques centimes.
Mais car cela me fait râler de toujours être sollicité et de toujours répéter les mêmes choses concernant le fonctionnement des éclairages automatiques qui dans les dépendances et extérieurs sont là non pas pour une question d’économie mais de confort et de sécurité.

De telles installations dans la maison m'ont donc demandé réflexions pour palier avec les inconvénients déjà rencontrés dans les dépendances et pour l'extérieur. J'adopterais la solution définitive aussi dans ces zones pour être définitivement tranquille et justement ne plus passer pour un grincheux.

A la base dans notre famille on est tous du même avis concernant l'économie en général, ce qui n'est pas toujours facile avec les enfants ou les étrangers qui viennent en visite. Je pense que cela est la même chose dans la plupart des foyers.

Et nous préférons investir dans la limite du raisonnable pour notre confort mais aussi notre porte monnaie que de donner gratuitement ou inutilement notre argent à ceux qui sont souvent de mauvaise foi en pensant que tout leur est dû et que nous nourrirons déjà bien trop.

Concernant la mise en garde que vous émettez dans la solution de l'invité au sujet de mettre une diode 1N4004, pourriez-vous développer et n’argumenter afin que je comprenne mieux le pourquoi que cette solution est erronée et dangereuse ?
Je ne cherche à contredire votre réponse mais j'ai besoin de comprendre. Je n'aime pas reproduire sans savoir ou pourquoi je fais telle ou telle chose. Je suppose que c'est aussi le but des forums.

Ces diodes sont prévues pour fonctionner jusqu'à 400v et sont utilisées dans les montages les plus simples, pour alimenter des leds (1 au minimum) en 230V.

La seule contrainte que je vois serait peut-être au niveau de la puissance qu'une telle diode pourrait supporter, mais je n'ai trouvé aucune info à ce sujet. D'autre part en matière de puissance je doute que les connecteurs de l'ampoule témoin puissent résister à de grosse puissance, car ils sont cassants juste au touché tellement ils sont fins (de quelques 10ième de mm).
J'ai pu remarquer cela en démontant une de ces ampoules témoins qui était défaillante.

Toutefois dans le cas présent, on se trompe en désignant le témoin comme une LED, car il ne s’agit pas de led, mais d'une petite ampoule, si cela avait été un led d'une part l’interrupteur aurait été muni d'un petit circuit électronique avec une diode 1N4004 pour alimenter cette LED, et le problème ne se poserait pas. Mais aussi car une LED est une diode.
Elle ne s'allume donc pas si elle est montée à l'envers ou si il y a un retour courant dans le sens inverse.

A suivre...

Bien reçu. Pour continuer la discussion, si votre entourage a besoin d'explications répétitives pour utiliser les systèmes que vous avez mis en place ou que vous rajoutez ou voulez rajouter, c'est que ceux-ci sont mal conçus, désolé de le dire ainsi.

Citation :
...ne plus passer pour un grincheux.

C'est un bon objectif que, c'est certain, vous allez vous efforcer d'atteindre.

Réponse 6 a répondu sans argumenter sa solution technique. On se demande comment une diode appelée dans d'autres montages "diode d'aiguillage" pourrait assurer les fonctions demandées dans un montage où courants et tensions sont alternatifs. C'est le sens du qualificatif "erroné".
Pour la partie dangerosité, on sait qu'une diode est prévue pour commuter une intensité définie (pas une puissance) avec une tension de blocage définie elle aussi ; ici on ne sait absolument rien de ce que réponse 6 veut faire. La démarche scientifique ne consiste pas à dire ou écrire "il n'y a qu'à", il faut justifier.

D'autre part, en électrotechnique et électronique on ne sait rien faire sans schéma. Sur les forums il y en a peu, c'est pour cela qu'il faut que les problèmes soient simples à résoudre.
Mais si vous avez parcouru le forum vous avez dû constater que quelquefois on arrive à résoudre des problèmes un peu difficiles avec des phrases. Le dernier de ce type a nécessité plus de trente échanges.

Dans votre cas, il faut dessiner les montages et ainsi voir ce qui va ou non.
Et quand on câble, le fonctionnement est bon au premier branchement.

Les solutions de CMT pourraient certainement vous permettre d'obtenir le fonctionnement que vous attendez, sans électronique, avec des commutations très simples.

Cordialement.