Profil du membre artiste51
Actuellement
26 501
questions dans le
forum électricité
Membre inscrit artiste51

a posté 101 messages sur les forums BricoVidéo :
Bonjour.
OK avec CMT pour votre explication car le DB et le tableau ne sont pas cote a cote mais le tableau est au dessus, cela fait suite a une rénovation de l'ancienne installation avec des fusibles ; et comme les conducteurs des gaines existantes des différents circuits à fleur de murs n'ont pas pu être rallongées de 90cm, le nouveau tableau avec DJ a été placé au même endroit que l'ancien.
Du coup, je vais opter pour une gaine ICTA d'un diamètre suffisant qui saura accueillir les 2 câbles en 16mm² phase et neutre.
le câble R2V aurait été bien aussi mais le prix vendu au mètre est un frein car le H07VR est nettement moins cher .
Par contre, j'ai remarqué qu'a l'époque des anciennes installations, les câbles n'étaient pas protégés par une gaine, ni goulotte, les câbles étaient connectés tel quel et a priori, il y avait des câbles en H07VR de 10mm².
Merci de vos réponses.
Cordialement.
OK avec CMT pour votre explication car le DB et le tableau ne sont pas cote a cote mais le tableau est au dessus, cela fait suite a une rénovation de l'ancienne installation avec des fusibles ; et comme les conducteurs des gaines existantes des différents circuits à fleur de murs n'ont pas pu être rallongées de 90cm, le nouveau tableau avec DJ a été placé au même endroit que l'ancien.
Du coup, je vais opter pour une gaine ICTA d'un diamètre suffisant qui saura accueillir les 2 câbles en 16mm² phase et neutre.
le câble R2V aurait été bien aussi mais le prix vendu au mètre est un frein car le H07VR est nettement moins cher .
Par contre, j'ai remarqué qu'a l'époque des anciennes installations, les câbles n'étaient pas protégés par une gaine, ni goulotte, les câbles étaient connectés tel quel et a priori, il y avait des câbles en H07VR de 10mm².
Merci de vos réponses.
Cordialement.
29 juillet 2021 à 07:24

Bonjour.
Merci pour vos réponses.
Par contre, je ne comprends pas ce que dit CMT quand il indique qu'il faut que cela soit sous gaine ICTA, IRL, goulotte : dans ma question, il s'agit uniquement d'avoir un câble en 16mm² et de 90 cm de long, qui sort des borniers du DB EDF et qui va se raccorder aux borniers phase et neutre du tableau de répartition.
Le tableau est quasiment au dessus du DB et je ne vois pas pour quelle raison, il faudrait une goulotte de 90 cm par exemple, d'autant plus que la longueur de 90 cm du câble n'est pas une longueur rectiligne mais elle inclut deux courbures une en sortie du DB et une en arrivée aux borniers du tableau : je ne vois pas comment on peut faire une goulotte.
Et, concernant le câble R02V, il est difficile de trouver dans la norme ce à quoi il est dédié.
Mais c'est vrai que ce serait dommage d'utiliser de ce câble (qui est vendu en 2 fois 16mm²) et de le dénuder aux extrémités sur une longueur non négligeable et aboutir finalement à ce qu'il ressemble à un câble H07VR, la seule différence serait que le R02V serait plus protégé avec une enveloppe en PVC.
Mais pour un bout de 90 cm, je vais prendre l'avis de GL et voir si un câble de H07VK serait en définitive la meilleure solution, mais toujours sans goulotte.
Cordialement.
Merci pour vos réponses.
Par contre, je ne comprends pas ce que dit CMT quand il indique qu'il faut que cela soit sous gaine ICTA, IRL, goulotte : dans ma question, il s'agit uniquement d'avoir un câble en 16mm² et de 90 cm de long, qui sort des borniers du DB EDF et qui va se raccorder aux borniers phase et neutre du tableau de répartition.
Le tableau est quasiment au dessus du DB et je ne vois pas pour quelle raison, il faudrait une goulotte de 90 cm par exemple, d'autant plus que la longueur de 90 cm du câble n'est pas une longueur rectiligne mais elle inclut deux courbures une en sortie du DB et une en arrivée aux borniers du tableau : je ne vois pas comment on peut faire une goulotte.
Et, concernant le câble R02V, il est difficile de trouver dans la norme ce à quoi il est dédié.
Mais c'est vrai que ce serait dommage d'utiliser de ce câble (qui est vendu en 2 fois 16mm²) et de le dénuder aux extrémités sur une longueur non négligeable et aboutir finalement à ce qu'il ressemble à un câble H07VR, la seule différence serait que le R02V serait plus protégé avec une enveloppe en PVC.
Mais pour un bout de 90 cm, je vais prendre l'avis de GL et voir si un câble de H07VK serait en définitive la meilleure solution, mais toujours sans goulotte.
Cordialement.
28 juillet 2021 à 05:29

Bonjour.
Je me réponds à moi-même, en attendant une réponse crédible car je ne garantis pas la véracité : Après consultation de divers sites dédiés à l'installation électrique dans une maison, il semble que le câble : H07VR soit adapté pour le câblage du compteur au tableau électrique.
J'en déduis que ça peut vouloir dire : adapté pour câbler le DB (les bornes de sorties) au tableau de répartition (les borniers de phase et de neutre du tableau).
A vérifier si c'est la bonne utilisation.
Cordialement.
Je me réponds à moi-même, en attendant une réponse crédible car je ne garantis pas la véracité : Après consultation de divers sites dédiés à l'installation électrique dans une maison, il semble que le câble : H07VR soit adapté pour le câblage du compteur au tableau électrique.
J'en déduis que ça peut vouloir dire : adapté pour câbler le DB (les bornes de sorties) au tableau de répartition (les borniers de phase et de neutre du tableau).
A vérifier si c'est la bonne utilisation.
Cordialement.
27 juillet 2021 à 13:08

Bonjour.
Une question assez simple mais pour laquelle, on ne trouve pas de réponse claire et nette.
J'aimerai connaitre quel est le type de câble qu'il doit y avoir entre la sortie des bornes du DB (Disjoncteur de Branchement) et le raccordement au tableau de répartition.
Je précise d'une part que le compteur est à l'intérieur de la maison et d'autre part, que le DB est à moins de un mètre de mon tableau de répartition.
Ma question porte sur le type de câble et pas sur la section.
Je vais avoir un abonnement en 9kVa et en principe, je dois respecter une section de 16 mm², la dessus, je pense que c'est correct.
Mais quant à choisir le bon type, la bonne dénomination du câble, il y a peu d'informations.
J'ai relevé qu'en principe, je dois utiliser du câble : H07V R (un câble de phase pour relier mon bornier phase et un autre câble de neutre pour relier mon bornier neutre).
D'autres informations circulent et indiquent qu'il faudrait utiliser du câble : R02V, mais je doute que cela soit ce type de câble car il me semble que c'est un câble pour relier uniquement le coffret de branchement individuel placé en limite de propriété avec le compteur et que ce n'est pas ce type pour relier une sortie de DB avec le tableau de répartition.
Merci de votre amabilité pour me dire, en réalité, quel est le bon type de câble.
Cordialement.
Une question assez simple mais pour laquelle, on ne trouve pas de réponse claire et nette.
J'aimerai connaitre quel est le type de câble qu'il doit y avoir entre la sortie des bornes du DB (Disjoncteur de Branchement) et le raccordement au tableau de répartition.
Je précise d'une part que le compteur est à l'intérieur de la maison et d'autre part, que le DB est à moins de un mètre de mon tableau de répartition.
Ma question porte sur le type de câble et pas sur la section.
Je vais avoir un abonnement en 9kVa et en principe, je dois respecter une section de 16 mm², la dessus, je pense que c'est correct.
Mais quant à choisir le bon type, la bonne dénomination du câble, il y a peu d'informations.
J'ai relevé qu'en principe, je dois utiliser du câble : H07V R (un câble de phase pour relier mon bornier phase et un autre câble de neutre pour relier mon bornier neutre).
D'autres informations circulent et indiquent qu'il faudrait utiliser du câble : R02V, mais je doute que cela soit ce type de câble car il me semble que c'est un câble pour relier uniquement le coffret de branchement individuel placé en limite de propriété avec le compteur et que ce n'est pas ce type pour relier une sortie de DB avec le tableau de répartition.
Merci de votre amabilité pour me dire, en réalité, quel est le bon type de câble.
Cordialement.
25 juillet 2021 à 09:20

Bonjour.
Pour être vraiment précis :
Le tableau est une marque Rési9 de Schneider coffret de 2 rangées de 13 modules : sur celui-ci, il y a des borniers de raccordement phase et neutre et il est indiqué : 1 x 35mm² et 6 x 16mm².
A priori, c'est standard chez ce fabricant puisque j'ai un ancien tableau de chez eux : le D clic de 2015 et c'est pareil.
Et en ce qui concerne le bornier de terre, vous avez : 4 x 16mm² à vis et 20 x 4mm² auto.
Ce sont ces indications qui sont données par le fabricant.
Peut-être s'agit-il d'indiquer la section maxi possible. Et si c'est le cas, je serais comme vous avec :
Sur mes borniers de tableau, on peut mettre entre 6² et 25² et si c'est bien cela, ça veut dire qu'avec du 6mm², le trou est trop grand et il n'est pas sûr que la vis puisse bien serrer la section complétement, alors que si on raccorde du 25mm², ça va tout seul et le serrage est efficace.
Du coup, puisque ces borniers du tableau sont standards, je n'ai que deux solutions à soumettre pour avis : soit faire une boucle à l'extrémité du 6mm² et comme cela j'ai une surface de contact plus importante dans le trou du bornier.
Soit je trouve des embouts pré-isolés pour du 6mm², cela permettra de ne pas avoir tous les brins du 6mm² dispersés dans le trou du bornier.
Évidemment, il y a la solution de raccorder avec du 10 ou 16mm², là pas de problème.
Mais comme j'utilise des DJ 32A, du 6mm² est la section adéquate. D'ailleurs c'est en reprenant un schéma de Carminas que j'ai opté pour du 6mm² avec DJ de 32A .
Et dans son schéma, on voit nettement que le 6mm² est raccordé aux borniers du tableau.
Maintenant concernant ce que j'appelle la cage des DJ : j'utilise des DJ à vis et que ce soit situé sur le dessus (pour accueillir les peignes) ou que ce soit sur le dessous pour accueillir les conducteurs, j'appelle cela une cage et on voit bien qu'en vissant, cette cage se réduit jusqu'à serrer le peigne ou le conducteur.
Et quand il s'agit de conducteur de 1.5mm², il y a une boucle à son extrémité pour donner une plus grande surface de serrage.
C'est ce que j'ai vu : mais peut-être s'agit-il d'une pratique empirique.
Enfin pour revenir à la distance qui sépare le tableau divisionnaire du principal, j'ai opté pour une protection avec un DJ 32A même si je suis proche à 50 centimètres.
Le but, c'est d'avoir un tableau divisionnaire vraiment indépendant du principal puisqu'il sera dédié à du chauffage électrique : là au moins s'il y a une trop forte consommation en watt des radiateurs électriques, le DJ 32A fera la coupure et mon tableau principal continuera de fonctionner sans en tenir compte. Mais bon, c'est comme cela que je vois les choses et je ne suis pas sûr d'avoir la bonne solution.
Le but est toujours le même : sécuriser au mieux l'installation électrique.
Cordialement.
Pour être vraiment précis :
Le tableau est une marque Rési9 de Schneider coffret de 2 rangées de 13 modules : sur celui-ci, il y a des borniers de raccordement phase et neutre et il est indiqué : 1 x 35mm² et 6 x 16mm².
A priori, c'est standard chez ce fabricant puisque j'ai un ancien tableau de chez eux : le D clic de 2015 et c'est pareil.
Et en ce qui concerne le bornier de terre, vous avez : 4 x 16mm² à vis et 20 x 4mm² auto.
Ce sont ces indications qui sont données par le fabricant.
Peut-être s'agit-il d'indiquer la section maxi possible. Et si c'est le cas, je serais comme vous avec :
Sur mes borniers de tableau, on peut mettre entre 6² et 25² et si c'est bien cela, ça veut dire qu'avec du 6mm², le trou est trop grand et il n'est pas sûr que la vis puisse bien serrer la section complétement, alors que si on raccorde du 25mm², ça va tout seul et le serrage est efficace.
Du coup, puisque ces borniers du tableau sont standards, je n'ai que deux solutions à soumettre pour avis : soit faire une boucle à l'extrémité du 6mm² et comme cela j'ai une surface de contact plus importante dans le trou du bornier.
Soit je trouve des embouts pré-isolés pour du 6mm², cela permettra de ne pas avoir tous les brins du 6mm² dispersés dans le trou du bornier.
Évidemment, il y a la solution de raccorder avec du 10 ou 16mm², là pas de problème.
Mais comme j'utilise des DJ 32A, du 6mm² est la section adéquate. D'ailleurs c'est en reprenant un schéma de Carminas que j'ai opté pour du 6mm² avec DJ de 32A .
Et dans son schéma, on voit nettement que le 6mm² est raccordé aux borniers du tableau.
Maintenant concernant ce que j'appelle la cage des DJ : j'utilise des DJ à vis et que ce soit situé sur le dessus (pour accueillir les peignes) ou que ce soit sur le dessous pour accueillir les conducteurs, j'appelle cela une cage et on voit bien qu'en vissant, cette cage se réduit jusqu'à serrer le peigne ou le conducteur.
Et quand il s'agit de conducteur de 1.5mm², il y a une boucle à son extrémité pour donner une plus grande surface de serrage.
C'est ce que j'ai vu : mais peut-être s'agit-il d'une pratique empirique.
Enfin pour revenir à la distance qui sépare le tableau divisionnaire du principal, j'ai opté pour une protection avec un DJ 32A même si je suis proche à 50 centimètres.
Le but, c'est d'avoir un tableau divisionnaire vraiment indépendant du principal puisqu'il sera dédié à du chauffage électrique : là au moins s'il y a une trop forte consommation en watt des radiateurs électriques, le DJ 32A fera la coupure et mon tableau principal continuera de fonctionner sans en tenir compte. Mais bon, c'est comme cela que je vois les choses et je ne suis pas sûr d'avoir la bonne solution.
Le but est toujours le même : sécuriser au mieux l'installation électrique.
Cordialement.
26 septembre 2020 à 08:54

Bonjour.
Dans le cadre d'une installation d'un chauffage électrique, j'ai un tableau divisionnaire qui y est dédié uniquement pour le premier étage de l'habitation.
Celui-ci se trouve à 50 centimètres du tableau principal et pour assurer la protection du tableau divisionnaire, j'ai fait le choix de protégé par un DJ de 32A avec comme section du conducteur du 6mm².
Le problème que je rencontre, c'est le raccordement du DJ 32A aux borniers phase et neutre du tableau principal car les borniers accueillent des sections de 25mm² et des sections de 16mm² ; dès lors, le raccordement avec du 6mm² s'avère difficile car il y a trop d'espace dans le bornier pour être sûr que la vis va bien serrer à fond le 6mm².
Quelle est la solution : faut-il faire une boucle sur l'extrémité du conducteur de 6mm² et ainsi obtenir une section plus volumineuse qui cette fois sera bien serrée dans les borniers ?
J'ajoute que le même problème se produirait si j’utilisai des conducteurs de 10mm² avec un DJ de 40A.
Pourtant, a priori, c'est comme cela qu'il faut faire pour raccorder un tableau divisionnaire : la protection de celui-ci doit être raccordée directement aux borniers phase et neutre du tableau principal.
Pour ma part, j'aurais plutôt opté pour utiliser un DJ d'une rangée du tableau principal fixé sur rail et déjà alimenté par les peignes.
Là au moins, j'aurais eu le certitude que le 6mm² serait bien serré dans la cage des DJ.
Puisque ceux ci accueillent des section allant de 1.5mm² jusqu'à 10mm² .
Pour en revenir a ma question, le fait de faire une boucle sur l'extrémité du conducteur de 6mm² devrait permettre un bon serrage dans les borniers du tableau principal.
D'ailleurs, j'ai déjà remarqué que bien souvent, les boucles sur conducteurs de 1.5mm² sont courantes pour justement assurer une meilleure surface de serrage dans les cages des DJ.
Il est vrai que le 1.5mm² fixé dans un DJ peut facilement se desserrer avec le temps.
Il est quand même étonnant que les fabricants de tableau n'ait pas pensé a proposer des borniers avec des sections autre que 25 et 16mm².
Cordialement.
Dans le cadre d'une installation d'un chauffage électrique, j'ai un tableau divisionnaire qui y est dédié uniquement pour le premier étage de l'habitation.
Celui-ci se trouve à 50 centimètres du tableau principal et pour assurer la protection du tableau divisionnaire, j'ai fait le choix de protégé par un DJ de 32A avec comme section du conducteur du 6mm².
Le problème que je rencontre, c'est le raccordement du DJ 32A aux borniers phase et neutre du tableau principal car les borniers accueillent des sections de 25mm² et des sections de 16mm² ; dès lors, le raccordement avec du 6mm² s'avère difficile car il y a trop d'espace dans le bornier pour être sûr que la vis va bien serrer à fond le 6mm².
Quelle est la solution : faut-il faire une boucle sur l'extrémité du conducteur de 6mm² et ainsi obtenir une section plus volumineuse qui cette fois sera bien serrée dans les borniers ?
J'ajoute que le même problème se produirait si j’utilisai des conducteurs de 10mm² avec un DJ de 40A.
Pourtant, a priori, c'est comme cela qu'il faut faire pour raccorder un tableau divisionnaire : la protection de celui-ci doit être raccordée directement aux borniers phase et neutre du tableau principal.
Pour ma part, j'aurais plutôt opté pour utiliser un DJ d'une rangée du tableau principal fixé sur rail et déjà alimenté par les peignes.
Là au moins, j'aurais eu le certitude que le 6mm² serait bien serré dans la cage des DJ.
Puisque ceux ci accueillent des section allant de 1.5mm² jusqu'à 10mm² .
Pour en revenir a ma question, le fait de faire une boucle sur l'extrémité du conducteur de 6mm² devrait permettre un bon serrage dans les borniers du tableau principal.
D'ailleurs, j'ai déjà remarqué que bien souvent, les boucles sur conducteurs de 1.5mm² sont courantes pour justement assurer une meilleure surface de serrage dans les cages des DJ.
Il est vrai que le 1.5mm² fixé dans un DJ peut facilement se desserrer avec le temps.
Il est quand même étonnant que les fabricants de tableau n'ait pas pensé a proposer des borniers avec des sections autre que 25 et 16mm².
Cordialement.
25 septembre 2020 à 08:25

OK merci pour vos réponses.
Cordialement.
Cordialement.
24 septembre 2020 à 08:28

Bonjour.
Bien noté vos remarques.
Par contre, je ne comprends pas le terme surintensité, dans quel cas l'employer :
Quand il s'agit d'un court-circuit, il y a surintensité et si j'ai bien compris, le DJ du circuit incriminé coupe la surintensité et se déclenche.
Reste après, et parfois c'est pas facile, de trouver le lieu du court-circuit (à quel endroit cela s'est produit).
Mais qu'en est-il lorsqu'il arrive parfois également qu'un échauffement est tel qu'il peut donner lieu a un début d'incendie ? (l'exemple souvent cité est celui de dominos mal serrés dans une boite de dérivation).
S'agit-il là d'une surintensité ?
Et seconde question : Pourquoi, n'y a t-il pas d'appareillage de protection pour l'empêcher ?
Car si j'ai bien compris : l'ID protège les personnes, le DJ détecte les court-circuits et coupe ; mais pour l'échauffement pouvant conduire à un début d'incendie, quel est le dispositif qui pourrait l'empêcher ou tout du moins le signaler.
J'aimerai savoir ce qu'il en est car je suppose que la norme NF C 15 100 a dû prévoir cela avec un dispositif préventif ?
Cordialement.
Bien noté vos remarques.
Par contre, je ne comprends pas le terme surintensité, dans quel cas l'employer :
Quand il s'agit d'un court-circuit, il y a surintensité et si j'ai bien compris, le DJ du circuit incriminé coupe la surintensité et se déclenche.
Reste après, et parfois c'est pas facile, de trouver le lieu du court-circuit (à quel endroit cela s'est produit).
Mais qu'en est-il lorsqu'il arrive parfois également qu'un échauffement est tel qu'il peut donner lieu a un début d'incendie ? (l'exemple souvent cité est celui de dominos mal serrés dans une boite de dérivation).
S'agit-il là d'une surintensité ?
Et seconde question : Pourquoi, n'y a t-il pas d'appareillage de protection pour l'empêcher ?
Car si j'ai bien compris : l'ID protège les personnes, le DJ détecte les court-circuits et coupe ; mais pour l'échauffement pouvant conduire à un début d'incendie, quel est le dispositif qui pourrait l'empêcher ou tout du moins le signaler.
J'aimerai savoir ce qu'il en est car je suppose que la norme NF C 15 100 a dû prévoir cela avec un dispositif préventif ?
Cordialement.
21 septembre 2020 à 08:09

Bonjour,
OK pour le fonctionnement du testeur, si nous sommes en méga ohms, pas de risque.
Concernant l'installation ancienne, c'est bien l'isolant qui tombait en poussière comme vous le dites.
Je pense qu'à l'époque, on a eu de la chance de voir ce défaut et d'y remédier.
Mais je voulais savoir, à l'époque, il n'y avait pas les ID, s'il y en avait eu un, aurait-il déclenché si un neutre et une phase sans isolant dans la moulure se seraient touchés.
A mon avis, je pense que oui mais est-ce qu'un ID a ce rôle là, de détecter les court-circuits.
De plus, il est souvent dit que les DJ, eux, n'ont pas cette fonction, de détecter les court-circuits.
Qu'en est-il exactement, quel est l'appareillage qui détecte immédiatement un court-circuit et qui coupe le circuit incriminé ?
Ce sont encore des questions qui demandent un avis éclairé.
Cordialement.
OK pour le fonctionnement du testeur, si nous sommes en méga ohms, pas de risque.
Concernant l'installation ancienne, c'est bien l'isolant qui tombait en poussière comme vous le dites.
Je pense qu'à l'époque, on a eu de la chance de voir ce défaut et d'y remédier.
Mais je voulais savoir, à l'époque, il n'y avait pas les ID, s'il y en avait eu un, aurait-il déclenché si un neutre et une phase sans isolant dans la moulure se seraient touchés.
A mon avis, je pense que oui mais est-ce qu'un ID a ce rôle là, de détecter les court-circuits.
De plus, il est souvent dit que les DJ, eux, n'ont pas cette fonction, de détecter les court-circuits.
Qu'en est-il exactement, quel est l'appareillage qui détecte immédiatement un court-circuit et qui coupe le circuit incriminé ?
Ce sont encore des questions qui demandent un avis éclairé.
Cordialement.
20 septembre 2020 à 08:05

Merci pour toutes vos réponses. Cela m'apporte un éclairage sans lequel je ne peux avoir une compréhension limpide.
Sur le choix de trouver la phase dans une prise, je sais qu'il existe des tournevis testeur, mais cela ne me rassure pas du tout car il s'agit d'enfoncer la pointe du tournevis dans un trou de la prise et de créer une continuité en posant le pouce sur la partie métallique du dessus du tournevis. En clair, c'est le corps humain qui fait la continuité et cela ne m'enchante guère de procédé à un tel test.
Concernant le fait qu'il est peu probable que deux phases se touchent dans une gaine, j'ai vu ce problème en vrai dans une ancienne maison, vraiment très ancienne : les conducteurs d'une part ne me semblaient pas être en cuivre (comme une sorte de fil en métal) et l'enrobage était vraiment détérioré, en miette, à tel point que j'ai bien vu deux conducteurs dénudés l'un sur l'autre dans une sorte de gaine (mais pas une gaine du genre ICTA) on aurait dit une sorte de moulure en bois dans laquelle se trouvaient de nombreux conducteurs.
Comme il n'y a pas eu d'étincelle ou un court-circuit, j'ai supposé à l'époque que c'était deux phases dénudées qui se touchaient dans la moulure vu que si cela avait été un neutre et une phase, là j'aurais eu un court-circuit.
Depuis, l'ancienne installation a été changée et une nouvelle ligne a été tirée en apparent.
Voilà ce que je voulais dire sur la possibilité que deux phases se touchent et la conséquence qui en découle.
Cordialement.
Sur le choix de trouver la phase dans une prise, je sais qu'il existe des tournevis testeur, mais cela ne me rassure pas du tout car il s'agit d'enfoncer la pointe du tournevis dans un trou de la prise et de créer une continuité en posant le pouce sur la partie métallique du dessus du tournevis. En clair, c'est le corps humain qui fait la continuité et cela ne m'enchante guère de procédé à un tel test.
Concernant le fait qu'il est peu probable que deux phases se touchent dans une gaine, j'ai vu ce problème en vrai dans une ancienne maison, vraiment très ancienne : les conducteurs d'une part ne me semblaient pas être en cuivre (comme une sorte de fil en métal) et l'enrobage était vraiment détérioré, en miette, à tel point que j'ai bien vu deux conducteurs dénudés l'un sur l'autre dans une sorte de gaine (mais pas une gaine du genre ICTA) on aurait dit une sorte de moulure en bois dans laquelle se trouvaient de nombreux conducteurs.
Comme il n'y a pas eu d'étincelle ou un court-circuit, j'ai supposé à l'époque que c'était deux phases dénudées qui se touchaient dans la moulure vu que si cela avait été un neutre et une phase, là j'aurais eu un court-circuit.
Depuis, l'ancienne installation a été changée et une nouvelle ligne a été tirée en apparent.
Voilà ce que je voulais dire sur la possibilité que deux phases se touchent et la conséquence qui en découle.
Cordialement.
19 septembre 2020 à 20:49

Bonjour, merci pour vos réponses.
En réponse à GL :
J'ai bien noté qu'en principe comme il n'y a pas de ddp entre 2 phases (ou 2 neutres), en monophasé, il n'y a pas de passage d'un quelconque courant mais vous dites toutefois que le différentiel peut se déclencher.
N'est-ce pas contradictoire ?
Pour moi, soit il y a un passage de courant, soit il n'y en a pas c'est binaire. Ou bien est-ce dû au fait que les différentiels, de part leurs fonctions intrinsèques sont justement là pour détecter des micros courant ?
J'ai noté également que c'est inenvisageable d'avoir deux phases qui se touchent dans une gaine : j'ai pris un exemple pour illustrer ma question.
Par contre, une autre question :
On a parfois des anciennes installations qui ne permettent pas d'appairer les neutres et phases de chaque circuit individuel et par ce fait, on est obligé si on n'a pas la possibilité de tirer de nouvelles lignes, de mettre les neutres en commun.
Et sous les DJ, sont fixés uniquement les phases de chaque circuit.
Question : et si on faisait l'inverse : mettre toutes les phases en communs et chaque neutre sous son DJ respectif.
Car s'il n'y a pas de ddp entre les phases, elles peuvent être en commun ?
En réponse à Martien : oui, c'est avec la fonction voltmètre que je trouve la phase et pas en fonction ohmmètre.
Pour compléter : une autre question : comment trouver la phase lorsqu'il s'agit de prises d'anciennes installations qui ne sont pas munies de la broche de terre ? (on a une prise avec deux trous et rien d'autre, et d'ailleurs quand on enlève le cache, on a que deux conducteurs).
Sauf que parfois, les couleurs de conducteurs qui ont été employées ne correspondent pas et visuellement, on ne sait pas lequel des deux conducteurs est phase ou neutre.
J'ai un vrai exemple : une prise avec deux conducteurs de couleur beige ?
Comment puis-je trouver la phase dans ce cas là avec un ohmmètre ?
Cordialement.
En réponse à GL :
J'ai bien noté qu'en principe comme il n'y a pas de ddp entre 2 phases (ou 2 neutres), en monophasé, il n'y a pas de passage d'un quelconque courant mais vous dites toutefois que le différentiel peut se déclencher.
N'est-ce pas contradictoire ?
Pour moi, soit il y a un passage de courant, soit il n'y en a pas c'est binaire. Ou bien est-ce dû au fait que les différentiels, de part leurs fonctions intrinsèques sont justement là pour détecter des micros courant ?
J'ai noté également que c'est inenvisageable d'avoir deux phases qui se touchent dans une gaine : j'ai pris un exemple pour illustrer ma question.
Par contre, une autre question :
On a parfois des anciennes installations qui ne permettent pas d'appairer les neutres et phases de chaque circuit individuel et par ce fait, on est obligé si on n'a pas la possibilité de tirer de nouvelles lignes, de mettre les neutres en commun.
Et sous les DJ, sont fixés uniquement les phases de chaque circuit.
Question : et si on faisait l'inverse : mettre toutes les phases en communs et chaque neutre sous son DJ respectif.
Car s'il n'y a pas de ddp entre les phases, elles peuvent être en commun ?
En réponse à Martien : oui, c'est avec la fonction voltmètre que je trouve la phase et pas en fonction ohmmètre.
Pour compléter : une autre question : comment trouver la phase lorsqu'il s'agit de prises d'anciennes installations qui ne sont pas munies de la broche de terre ? (on a une prise avec deux trous et rien d'autre, et d'ailleurs quand on enlève le cache, on a que deux conducteurs).
Sauf que parfois, les couleurs de conducteurs qui ont été employées ne correspondent pas et visuellement, on ne sait pas lequel des deux conducteurs est phase ou neutre.
J'ai un vrai exemple : une prise avec deux conducteurs de couleur beige ?
Comment puis-je trouver la phase dans ce cas là avec un ohmmètre ?
Cordialement.
19 septembre 2020 à 08:36

Bonjour.
J'ai une question pour laquelle je ne trouve pas de réponse : Que se passe t-il si, dans une installation en monophasé, il y a deux fils de phase qui se touchent.
J'ai vu que dans le cadre d'une installation triphasée, il y aurait du 400 volts de tension entre 2 phases.
Mais ma question porte sur du monophasé uniquement, si deux phases provenant de deux circuits distincts se touchent malencontreusement (enrobage du conducteur défectueux et mise à nu du conducteur), y a t-il vraiment une tension entre eux et y a t-il le danger d'un court-circuit ?
Cette question m'est venue lorsque j'ai vu que l'on pouvait trouver facilement avec un ohmmètre la phase d'une prise électrique : l'explication indiquait que terre et neutre sont reliés entre eux au niveau EDF et que les tests avec ohmmètre indique une tension uniquement entre la broche de la prise et un des deux trous de la prise : dès qu'on a une valeur proche de 230 volts, on sait que c'est la phase qui a été détectée.
Et si on teste la broche de la prise avec l'autre trou, on n'a aucune tension.
De ce constat, je me suis dit que si deux neutres issus de deux circuits distincts, s'ils se touchent : ne donnant aucune tension et donc pas de court-circuit possible dans une gaine.
Mais du coup, qu'en est-il si ce sont deux phases issues de deux circuits distincts qui se touchent dans une gaine : y a t-il une tension, bref un courant électrique ou n'y a t-il rien du tout ?
Si vous avez des réponses, je les attends avec intérêt.
Cordialement.
J'ai une question pour laquelle je ne trouve pas de réponse : Que se passe t-il si, dans une installation en monophasé, il y a deux fils de phase qui se touchent.
J'ai vu que dans le cadre d'une installation triphasée, il y aurait du 400 volts de tension entre 2 phases.
Mais ma question porte sur du monophasé uniquement, si deux phases provenant de deux circuits distincts se touchent malencontreusement (enrobage du conducteur défectueux et mise à nu du conducteur), y a t-il vraiment une tension entre eux et y a t-il le danger d'un court-circuit ?
Cette question m'est venue lorsque j'ai vu que l'on pouvait trouver facilement avec un ohmmètre la phase d'une prise électrique : l'explication indiquait que terre et neutre sont reliés entre eux au niveau EDF et que les tests avec ohmmètre indique une tension uniquement entre la broche de la prise et un des deux trous de la prise : dès qu'on a une valeur proche de 230 volts, on sait que c'est la phase qui a été détectée.
Et si on teste la broche de la prise avec l'autre trou, on n'a aucune tension.
De ce constat, je me suis dit que si deux neutres issus de deux circuits distincts, s'ils se touchent : ne donnant aucune tension et donc pas de court-circuit possible dans une gaine.
Mais du coup, qu'en est-il si ce sont deux phases issues de deux circuits distincts qui se touchent dans une gaine : y a t-il une tension, bref un courant électrique ou n'y a t-il rien du tout ?
Si vous avez des réponses, je les attends avec intérêt.
Cordialement.
18 septembre 2020 à 10:22

Bonjour.
En définitive, il n'y a jamais eu de vraie prise en 32A, c'est l'ancien tableau avec ces 3 fusibles de 32A qui m'a induit en erreur puisque j'ai machinalement copier les valeurs des fusibles sur le nouveau tableau avec des DJ32A.
Heureusement que je n'ai jamais eu de plaque de cuisson électrique ou une cuisinière électrique car là, mon 4mm² avec comme vous dites une capacité de 5.7 kW, aurait peut être pas tenu avec le LL et le LV en même temps.
Du coup, je suis perplexe, si j'ai compris votre analyse, je peux conserver en l'état l'anomalie : 1 neutre en 4mm² qui est en commun avec 3 phases en 4mm² .
mais je suppose que je dois alors changer les DJ32A du tableau pour les remplacer par des 20A (qui correspondent aux valeurs normées pour four, LL et LV.
A la limite, tant que je réside dans ma maison, si je n'ai pas besoin d'un circuit de prise en 32A, je peux laisser en l'état les DJ32A mais je dois quand même tenir compte que si un jour, je venais a vendre la maison, il ne faudrait pas que les futurs propriétaires soient leurrés par un tableau principal qui indique qu'il y a 3 circuits de 32A et qui décident par exemple d'installer un plaque de cuisson : là c'est sur que le 4mm² posera problème.
Mon idée pour clore la discussion est la suivante : je change les dj32A pour des DJ20A a mon tableau principal.
Et si un jour, je veux mettre une plaque de cuisson électrique, je crée une ligne en 6mm² avec le DJ32A.
Encore une question, si je peux la poser, elle concerne toujours les capacité des DJ : j'ai quand même l'impression que ce n'est pas clair car je trouve que les DJ sont souvent surdimensionnés avec des risques avérés.
Exemple : les circuits de prises de 16A autorisent 8 socles avec du 2.5mm² et il est indiqué qu'on doit mettre un DJ 20 A (c'est la norme) et pourtant , si j'ai 5 appareils répartis sur 5 socles, et qui chacun consomme 1000 Watts : j'ai quand même un total de 5000 Watts sur le circuit de prise, et pour moi, le DJ20A n'est pas dimensionné correctement car 20A que multiple 230 V, ça donne = 4600 Watts ?
Là à mon avis, ça saute tout le temps puisque je dépasse le maxi .
Je pense que la norme aurait du, en plus d'indiquer le nombre de socles possible, de donner une valeur maxi a ne pas dépasser en Watt.
C'est ce genre d'indication que l'on trouve au dos des rallonge de prises ( un bloc de 3 prises indique il me semble de mémoire : 3250 watts maxi ) là au moins c'est indiqué et pas de mauvaise surprise .
Maintenant, peut-être qu'il y a un alinéa dans la norme qui stipule un maxi autorisé, mais ça doit écris en tout petit ou mal formulé.
Cordialement
En définitive, il n'y a jamais eu de vraie prise en 32A, c'est l'ancien tableau avec ces 3 fusibles de 32A qui m'a induit en erreur puisque j'ai machinalement copier les valeurs des fusibles sur le nouveau tableau avec des DJ32A.
Heureusement que je n'ai jamais eu de plaque de cuisson électrique ou une cuisinière électrique car là, mon 4mm² avec comme vous dites une capacité de 5.7 kW, aurait peut être pas tenu avec le LL et le LV en même temps.
Du coup, je suis perplexe, si j'ai compris votre analyse, je peux conserver en l'état l'anomalie : 1 neutre en 4mm² qui est en commun avec 3 phases en 4mm² .
mais je suppose que je dois alors changer les DJ32A du tableau pour les remplacer par des 20A (qui correspondent aux valeurs normées pour four, LL et LV.
A la limite, tant que je réside dans ma maison, si je n'ai pas besoin d'un circuit de prise en 32A, je peux laisser en l'état les DJ32A mais je dois quand même tenir compte que si un jour, je venais a vendre la maison, il ne faudrait pas que les futurs propriétaires soient leurrés par un tableau principal qui indique qu'il y a 3 circuits de 32A et qui décident par exemple d'installer un plaque de cuisson : là c'est sur que le 4mm² posera problème.
Mon idée pour clore la discussion est la suivante : je change les dj32A pour des DJ20A a mon tableau principal.
Et si un jour, je veux mettre une plaque de cuisson électrique, je crée une ligne en 6mm² avec le DJ32A.
Encore une question, si je peux la poser, elle concerne toujours les capacité des DJ : j'ai quand même l'impression que ce n'est pas clair car je trouve que les DJ sont souvent surdimensionnés avec des risques avérés.
Exemple : les circuits de prises de 16A autorisent 8 socles avec du 2.5mm² et il est indiqué qu'on doit mettre un DJ 20 A (c'est la norme) et pourtant , si j'ai 5 appareils répartis sur 5 socles, et qui chacun consomme 1000 Watts : j'ai quand même un total de 5000 Watts sur le circuit de prise, et pour moi, le DJ20A n'est pas dimensionné correctement car 20A que multiple 230 V, ça donne = 4600 Watts ?
Là à mon avis, ça saute tout le temps puisque je dépasse le maxi .
Je pense que la norme aurait du, en plus d'indiquer le nombre de socles possible, de donner une valeur maxi a ne pas dépasser en Watt.
C'est ce genre d'indication que l'on trouve au dos des rallonge de prises ( un bloc de 3 prises indique il me semble de mémoire : 3250 watts maxi ) là au moins c'est indiqué et pas de mauvaise surprise .
Maintenant, peut-être qu'il y a un alinéa dans la norme qui stipule un maxi autorisé, mais ça doit écris en tout petit ou mal formulé.
Cordialement
04 août 2020 à 09:47

Bonjour.
Finalement, j'ai ouvert les prises :
En définitif : il y a deux prises de 20A (prise avec une broche plate) et une prise je suppose de 16A car la broche est ronde et le format classique.
Mais, sur les repiquages et sur les conducteurs trouvés, j'ai du 4mm² en réel : une terre + trois phase + un neutre : c'est ce neutre qui a subit un repiquage comme si c'était des prises de 16A (puisque c'est autorisé pour 5 socles ou 8 socles selon la section du conducteur).
En définitif, il doit s'agir d'une ancienne installation en triphasé et la dessus, ils ont transformé les 3 circuits initiaux de 32A :
Oui, car j'avais a l'époque 3 gros fusibles de 32A sur l'ancien tableau.
Et la transformation a consisté a faire 2 prises de 20A (broche plate) et 1 prise de 16A.
Mais quand j'ai changé mon tableau a l'époque, je m'en suis tenu a changer les fusibles identifiés de 32A avec des DJ de 32A (puisque c'est la norme) mais je n'ai regardé de près les prises en questions.
De toute manière, il n'y a jamais eu d'incident car les prises recevaient :
Un four (sur la prise de 20A broche plate) une machine a laver (2éme prise de 20A) et enfin un lave vaisselle sur la troisième prise de 16A.
Et quand les 3 appareils fonctionnaient en même temps, il n'y a jamais eu de souci, peut-être parce que le total consommé en watt n'était pas critique a ce point.
Bref, je vais voir pour modifier et obtenir : un circuit de prise 32A, un circuit de prise 20A et un circuit de prise 16A.
De cette manière, je suppose que je devrais changé 2 DJ de 32A au profit d'un DJ de 20A et un autre de 16A.
Et par conséquent j'aurais trois circuits identifiés qui pourront être exclus de l'ID qui regroupe les neutres en commun et ainsi, j'aurais une meilleure répartitions des circuits sur le tableau principal : Un ID avec les neutres en commun et un autre ID avec les neutres et phases appairés.
Cordialement.
Finalement, j'ai ouvert les prises :
En définitif : il y a deux prises de 20A (prise avec une broche plate) et une prise je suppose de 16A car la broche est ronde et le format classique.
Mais, sur les repiquages et sur les conducteurs trouvés, j'ai du 4mm² en réel : une terre + trois phase + un neutre : c'est ce neutre qui a subit un repiquage comme si c'était des prises de 16A (puisque c'est autorisé pour 5 socles ou 8 socles selon la section du conducteur).
En définitif, il doit s'agir d'une ancienne installation en triphasé et la dessus, ils ont transformé les 3 circuits initiaux de 32A :
Oui, car j'avais a l'époque 3 gros fusibles de 32A sur l'ancien tableau.
Et la transformation a consisté a faire 2 prises de 20A (broche plate) et 1 prise de 16A.
Mais quand j'ai changé mon tableau a l'époque, je m'en suis tenu a changer les fusibles identifiés de 32A avec des DJ de 32A (puisque c'est la norme) mais je n'ai regardé de près les prises en questions.
De toute manière, il n'y a jamais eu d'incident car les prises recevaient :
Un four (sur la prise de 20A broche plate) une machine a laver (2éme prise de 20A) et enfin un lave vaisselle sur la troisième prise de 16A.
Et quand les 3 appareils fonctionnaient en même temps, il n'y a jamais eu de souci, peut-être parce que le total consommé en watt n'était pas critique a ce point.
Bref, je vais voir pour modifier et obtenir : un circuit de prise 32A, un circuit de prise 20A et un circuit de prise 16A.
De cette manière, je suppose que je devrais changé 2 DJ de 32A au profit d'un DJ de 20A et un autre de 16A.
Et par conséquent j'aurais trois circuits identifiés qui pourront être exclus de l'ID qui regroupe les neutres en commun et ainsi, j'aurais une meilleure répartitions des circuits sur le tableau principal : Un ID avec les neutres en commun et un autre ID avec les neutres et phases appairés.
Cordialement.
03 août 2020 à 11:08

Bonjour.
Merci pour vos réponses.
Effectivement, je suis sur une ancienne installation et il y a 5 ans, j'ai voulu remplacer mon ancien tableau qui n'était composé que de fusibles et c'est là, en installant un nouveau tableau principal avec des DJ que j'ai découvert que je n'avais pas le même nombre de neutre en face du nombre de phase.
Au final comme les id sautaient sans cesse, j'ai eu l’obligation de mettre tous les neutres des circuits (14 en tout) sous un même ID.
(J'ai fait selon le schéma de Carminas) et tout a fonctionné.
Là, comme je vais bientôt installer un tableau divisionnaire dédié a mon futur chauffage électrique, j'ai souhaité revoir cette histoire de neutre en commun et de jouer comme vous dites la sécurité sur le tableau principal .
Je suis soulagé de voir que je n'ai pas d'obligation a restreindre à 8 DJ sur une seule rangée
Maintenant, pour le second point concernant les 3 prises de 32A :
Il y a bien un repiquage du neutre sur les boites des prises, c'est le même principe que le repiquage qui est autorisé sur les circuits de prises 16A (5 socles ou 8 socles) sauf que en principe, c'est interdit et que je dois avoir une phase et un neutre par prise de 32 A.
Donc, vous avez raison, l'idéal c'est de sortir 2 neutres à neuf.
Par contre, pour la solution de tout regrouper sous un unique DJ 32A, j'y vois deux problèmes : La section du conducteur est du 4 mm² et là je dois regrouper 3 phases de 4mm² sous un même DJ de 32A : Je ne crois pas que le volume soit suffisant pour loger les 3 conducteurs ensemble.
Second point, l'intensité sera forte et l'échauffement aussi sur ce même DJ 32A si les 3 prises fonctionnent en même temps, y a t-il la aussi un risque d'échauffement dans le tableau principal.
Sinon, j'aurais comme solution, de ne garder qu'une prise de 32A, et de refaire 2 circuits de prises de 20A.
Pour revenir au problème des neutres en commun, je vais tenter une nouvelle fois d'appairer les circuits avec la méthode de l'ohmmètre et ainsi pouvoir si possible placer ces circuits identifiés sous un même ID, et le reste sera comme avant, sous le montage des neutres en communs.
Ce qui pourra me donner un tableau principal mieux réparti sur les rangées : Idéal avoir 7 DJ par rangée de 13 modules sous protection chacun d'un ID par rangée au lieu de n'avoir pour l'instant qu'un ID qui protège les 14 DJ.
Cordialement.
Merci pour vos réponses.
Effectivement, je suis sur une ancienne installation et il y a 5 ans, j'ai voulu remplacer mon ancien tableau qui n'était composé que de fusibles et c'est là, en installant un nouveau tableau principal avec des DJ que j'ai découvert que je n'avais pas le même nombre de neutre en face du nombre de phase.
Au final comme les id sautaient sans cesse, j'ai eu l’obligation de mettre tous les neutres des circuits (14 en tout) sous un même ID.
(J'ai fait selon le schéma de Carminas) et tout a fonctionné.
Là, comme je vais bientôt installer un tableau divisionnaire dédié a mon futur chauffage électrique, j'ai souhaité revoir cette histoire de neutre en commun et de jouer comme vous dites la sécurité sur le tableau principal .
Je suis soulagé de voir que je n'ai pas d'obligation a restreindre à 8 DJ sur une seule rangée
Maintenant, pour le second point concernant les 3 prises de 32A :
Il y a bien un repiquage du neutre sur les boites des prises, c'est le même principe que le repiquage qui est autorisé sur les circuits de prises 16A (5 socles ou 8 socles) sauf que en principe, c'est interdit et que je dois avoir une phase et un neutre par prise de 32 A.
Donc, vous avez raison, l'idéal c'est de sortir 2 neutres à neuf.
Par contre, pour la solution de tout regrouper sous un unique DJ 32A, j'y vois deux problèmes : La section du conducteur est du 4 mm² et là je dois regrouper 3 phases de 4mm² sous un même DJ de 32A : Je ne crois pas que le volume soit suffisant pour loger les 3 conducteurs ensemble.
Second point, l'intensité sera forte et l'échauffement aussi sur ce même DJ 32A si les 3 prises fonctionnent en même temps, y a t-il la aussi un risque d'échauffement dans le tableau principal.
Sinon, j'aurais comme solution, de ne garder qu'une prise de 32A, et de refaire 2 circuits de prises de 20A.
Pour revenir au problème des neutres en commun, je vais tenter une nouvelle fois d'appairer les circuits avec la méthode de l'ohmmètre et ainsi pouvoir si possible placer ces circuits identifiés sous un même ID, et le reste sera comme avant, sous le montage des neutres en communs.
Ce qui pourra me donner un tableau principal mieux réparti sur les rangées : Idéal avoir 7 DJ par rangée de 13 modules sous protection chacun d'un ID par rangée au lieu de n'avoir pour l'instant qu'un ID qui protège les 14 DJ.
Cordialement.
03 août 2020 à 06:58

Bonjour.
J'ai vu que le sujet a déjà été évoqué et qu'il y a sur le forum une méthode pour pouvoir appairer les neutres et phases de chaque circuit.
Ma question ne portera pas sur cela. En clair, voici mon problème à résoudre :
Il est dit que si j'ai tous les neutres en communs, ils doivent être tous sous le même ID.
C'est la configuration que j'ai actuellement : j'ai regroupé 14 circuits sous le même ID : (5 éclairages, 6 prises et 3 prises 32 A)
Question : il est dit qu'on ne peut mettre sous un ID que 8 modules (ou 8 DJ) : Or là déjà même si je dépasse le nombre maxi de DJ, ce n'est pas clair car le tableau principal est composé de 2 rangées de 13 modules, si mon ID prend 2 modules sur le rail, j'ai droit en principe à 11 DJ que représentent les 11 modules restant sur le même rail. Sinon, les tableaux ne seraient pas commercialisés avec 13 modules pour une rangée.
Bref, je souhaite savoir combien réellement j'ai droit à placer des DJ à la suite de mon ID qui lui prend la place de 2 modules : Dois-je impérativement ne placer que 8 DJ ou bien ai-je quand même le droit de placer 11 DJ ?
Seconde question : J'ai mes 14 circuits sous le même ID compte tenu que les neutres sont en commun.
Cependant, comme j'ai réussi à appairer 5 circuits avec la méthode de l'ohmmètre fourni par votre forum (j'ai donc phase et neutre pour chaque circuit) je souhaiterai les mettre à part sous un autre ID et du coup au lieu d'avoir 14 modules sous un même ID, j'aurais un ID avec 9 neutres en commun et un autre ID avec les 5 circuits appairés.
En principe, ce montage doit être correct : mais concernant ces 5 circuits, trois posent le problème suivant : Il s'agit de mes trois circuits de prise de 32 A : j'ai bien 3 phases distinctes pour chaque prise, par contre, côté neutre, je n'ai qu'un seul fil qui provient de la gaine : Je suppose qu'il y a eu à l'époque de la construction des repiquages sur le neutre.
En clair, dans la gaine dédiée aux 3 circuits de prise de 32A, je n'ai que 4 conducteurs au lieu d'en avoir 6 (3 conducteurs rouge de phase et un conducteur bleu de neutre).
Est-ce que c'est quand même possible de placer ces 3 circuits de prise de 32 A sous le deuxième ID qui en comportera 5 circuits car il va me manquer 2 fil de neutre à visser sur les 2 DJ de 32 A, ce qui obligerait là aussi à placer, à cause du manque des fils de neutre, les 5 circuits également en neutre commun.
Ce qui voudrait dire au final, que sur une situation actuelle de 14 circuits sous un ID avec les neutres en communs, j'aurais deux ID : l'un composé de 9 circuits (les éclairages et les prises avec neutre des 9 circuits en communs et l'autre ID composé de 5 circuits, 1 garage, un cave et 3 prises de 32A) avec les neutres en commun également.
Je m'interroge sur la faisabilité de cette nouvelle configuration car même si j'ai deux ID séparés, les neutres au final sont en commun et il est dit que si tous les neutres sont en communs, ils doivent être sous le même ID.
Sauf que là, je connais mes 5 circuits et je sais où sont les neutres.
Comment dès lors faire au mieux ?
Cordialement.
J'ai vu que le sujet a déjà été évoqué et qu'il y a sur le forum une méthode pour pouvoir appairer les neutres et phases de chaque circuit.
Ma question ne portera pas sur cela. En clair, voici mon problème à résoudre :
Il est dit que si j'ai tous les neutres en communs, ils doivent être tous sous le même ID.
C'est la configuration que j'ai actuellement : j'ai regroupé 14 circuits sous le même ID : (5 éclairages, 6 prises et 3 prises 32 A)
Question : il est dit qu'on ne peut mettre sous un ID que 8 modules (ou 8 DJ) : Or là déjà même si je dépasse le nombre maxi de DJ, ce n'est pas clair car le tableau principal est composé de 2 rangées de 13 modules, si mon ID prend 2 modules sur le rail, j'ai droit en principe à 11 DJ que représentent les 11 modules restant sur le même rail. Sinon, les tableaux ne seraient pas commercialisés avec 13 modules pour une rangée.
Bref, je souhaite savoir combien réellement j'ai droit à placer des DJ à la suite de mon ID qui lui prend la place de 2 modules : Dois-je impérativement ne placer que 8 DJ ou bien ai-je quand même le droit de placer 11 DJ ?
Seconde question : J'ai mes 14 circuits sous le même ID compte tenu que les neutres sont en commun.
Cependant, comme j'ai réussi à appairer 5 circuits avec la méthode de l'ohmmètre fourni par votre forum (j'ai donc phase et neutre pour chaque circuit) je souhaiterai les mettre à part sous un autre ID et du coup au lieu d'avoir 14 modules sous un même ID, j'aurais un ID avec 9 neutres en commun et un autre ID avec les 5 circuits appairés.
En principe, ce montage doit être correct : mais concernant ces 5 circuits, trois posent le problème suivant : Il s'agit de mes trois circuits de prise de 32 A : j'ai bien 3 phases distinctes pour chaque prise, par contre, côté neutre, je n'ai qu'un seul fil qui provient de la gaine : Je suppose qu'il y a eu à l'époque de la construction des repiquages sur le neutre.
En clair, dans la gaine dédiée aux 3 circuits de prise de 32A, je n'ai que 4 conducteurs au lieu d'en avoir 6 (3 conducteurs rouge de phase et un conducteur bleu de neutre).
Est-ce que c'est quand même possible de placer ces 3 circuits de prise de 32 A sous le deuxième ID qui en comportera 5 circuits car il va me manquer 2 fil de neutre à visser sur les 2 DJ de 32 A, ce qui obligerait là aussi à placer, à cause du manque des fils de neutre, les 5 circuits également en neutre commun.
Ce qui voudrait dire au final, que sur une situation actuelle de 14 circuits sous un ID avec les neutres en communs, j'aurais deux ID : l'un composé de 9 circuits (les éclairages et les prises avec neutre des 9 circuits en communs et l'autre ID composé de 5 circuits, 1 garage, un cave et 3 prises de 32A) avec les neutres en commun également.
Je m'interroge sur la faisabilité de cette nouvelle configuration car même si j'ai deux ID séparés, les neutres au final sont en commun et il est dit que si tous les neutres sont en communs, ils doivent être sous le même ID.
Sauf que là, je connais mes 5 circuits et je sais où sont les neutres.
Comment dès lors faire au mieux ?
Cordialement.
02 août 2020 à 09:46

OK, va pour fils torsadés + dominos et avec des trappes dans le BA13 pour un accès au cas où il y aurait besoin.
Sauf si j'arrive à déplacer en hauteur les prises, ce serait l'idéal, moins de risque en terme de connexion et moins de travail (car dans mon cas, il s'agirait de confectionner pas moins de 15 trappes).
Et encore merci pour toutes les informations.
Cordialement.
Sauf si j'arrive à déplacer en hauteur les prises, ce serait l'idéal, moins de risque en terme de connexion et moins de travail (car dans mon cas, il s'agirait de confectionner pas moins de 15 trappes).
Et encore merci pour toutes les informations.
Cordialement.
24 juillet 2020 à 17:22

Bonjour.
Merci GL pour toutes ses explications, elles donnent beaucoup de détail et de savoir faire.
Finalement, au bout du compte, je vais retenir 2 solutions :
Soit je déplace les prises en hauteur pour gagner une vingtaine de cm et là, les conducteurs des circuits ne subiront aucun sectionnement puisqu'ils iront directement se connectés sur la nouvelle boite d'encastrement.
Soit, je vais faire les connexions avec des dominos (ou des Wagos) au même titre qu'une sortie de câble d'un radiateur électrique, et également au même titre qu'un raccordement d'un four électrique, puisque là aussi, on raccorde avec des dominos.
Et le tout, sans épissures, ni soudures.
Enfin, pour conclure, je ne comprends le scepticisme sur la technologie des Wagos à levier : Si ceux-ci remplacent les dominos, c'est qu'ils sont certainement beaucoup plus fiables.
C'est la raison pour laquelle, lorsque je vais raccorder mes radiateurs électriques, via les sorties de câbles, je vais utiliser les Wagos à levier.
Mais pour ce qui est de rallonger mes circuits de prises, je vais soit les déplacer en hauteur pour éviter un sectionnement et un raccord mais si ce n'est pas possible, ce sera l'option des dominos et si je vois que le fil n'est pas bien fixé, j'utiliserai alors des bornes (ça ressemble à la moitié d'un domino puisqu'il n'y a qu'une vis) et il y a dans ce genre de bornes, une capacité a bien écrasé les conducteurs, je m'en suis aperçu dans le changement de mon ancien tableau principal : En effet, les alimentations au compteur étaient repiqués avec ce genre de borne et les câbles de 10 ou 16 mm² étaient parfaitement écrasés par la borne.
Seul bémol, c'est la place dans une boite d'encastrement : pas vraiment possible de mettre 3 bornes dedans : d’où peut-être l'idée de remplacer la boite par une grosse boite de dérivation.
Bref, au final, je souhaite faire au mieux, avec une solution qui permettra le maintient des connexions dans le temps.
Encore merci pour toutes les informations sur ce sujet.
Cordialement.
Merci GL pour toutes ses explications, elles donnent beaucoup de détail et de savoir faire.
Finalement, au bout du compte, je vais retenir 2 solutions :
Soit je déplace les prises en hauteur pour gagner une vingtaine de cm et là, les conducteurs des circuits ne subiront aucun sectionnement puisqu'ils iront directement se connectés sur la nouvelle boite d'encastrement.
Soit, je vais faire les connexions avec des dominos (ou des Wagos) au même titre qu'une sortie de câble d'un radiateur électrique, et également au même titre qu'un raccordement d'un four électrique, puisque là aussi, on raccorde avec des dominos.
Et le tout, sans épissures, ni soudures.
Enfin, pour conclure, je ne comprends le scepticisme sur la technologie des Wagos à levier : Si ceux-ci remplacent les dominos, c'est qu'ils sont certainement beaucoup plus fiables.
C'est la raison pour laquelle, lorsque je vais raccorder mes radiateurs électriques, via les sorties de câbles, je vais utiliser les Wagos à levier.
Mais pour ce qui est de rallonger mes circuits de prises, je vais soit les déplacer en hauteur pour éviter un sectionnement et un raccord mais si ce n'est pas possible, ce sera l'option des dominos et si je vois que le fil n'est pas bien fixé, j'utiliserai alors des bornes (ça ressemble à la moitié d'un domino puisqu'il n'y a qu'une vis) et il y a dans ce genre de bornes, une capacité a bien écrasé les conducteurs, je m'en suis aperçu dans le changement de mon ancien tableau principal : En effet, les alimentations au compteur étaient repiqués avec ce genre de borne et les câbles de 10 ou 16 mm² étaient parfaitement écrasés par la borne.
Seul bémol, c'est la place dans une boite d'encastrement : pas vraiment possible de mettre 3 bornes dedans : d’où peut-être l'idée de remplacer la boite par une grosse boite de dérivation.
Bref, au final, je souhaite faire au mieux, avec une solution qui permettra le maintient des connexions dans le temps.
Encore merci pour toutes les informations sur ce sujet.
Cordialement.
24 juillet 2020 à 09:28

Bonjour.
Toutes vos suggestions et informations demandent des réponses et des avis.
Je vois que pour ce qui est de rallonger des conducteurs, c'est quand même un problème de sécurité et plusieurs solutions sont à choisir.
Mais, pour bien comprendre, je fais volontairement une comparaison avec la connexion des radiateurs électriques, via une sortie de câble qui se fixe dans une boite d'encastrement.
Au final, j'ai des connexions à réaliser à l'identique, sauf que, pour un radiateur électrique, on ne parle jamais d'épissure, ni de soudure à l'étain : le domino et maintenant le Wago à levier s'avèrent être la solution adéquate.
Car somme toute, la grosse différence entre rallonger des conducteurs de circuit de prises ou d'interrupteurs et connecter un radiateur, c'est la longueur des fils : dans mon cas de rallonge, j'ai des bouts de 18 cm que représentent l'épaisseur de mon isolation ; dans le cas d'un radiateur, le cordon est inférieur à un mètre : et dans les 2 cas, il s'agit d'assurer la continuité à la jonction soit avec des dominos soit avec des Wagos à levier.
Est-ce qu'on a plus de peur avec des fils à rallonger parce-que, on ne voit pas la connexion (puisqu'elle est masquée par l'isolant et le BA13), alors qu'on a moins peur avec une sortie de câble, que l'on voit en apparent.
Autre point : concernant les épissures avec soudure à l'étain, il est dit que ce n'est pas vraiment une soudure et que ce serait plutôt un collage et de plus, la soudure à l'étain aurait tendance à s'oxyder, et donc de provoquer à la longue de l'échauffement.
Bref, on s'aperçoit que rien n'est vraiment bien clair, il y a toujours des arguments contradictoires.
Aussi, ne pourrait-on pas imaginer de relier les conducteurs dans toute la longueur du conduit du domino (en les fixant aux deux extrémités que représentent les 2 vis) et par sécurité, faire couler une goutte d'étain dans chaque orifice du domino, et si l'étain ne le permet pas, utiliser une colle à métaux : là au moins on aurait la certitude que les conducteurs ainsi reliés ne pourraient pas se désunir.
Autre proposition alternative : les prises sont fixées au mur à 10 cm du sol, qu'est-ce qui empêche de les fixer à 30 cm du sol :
dans cette solution, on ne parle plus de connexion à risque sur une ancienne boite d'encastrement logée dans un mur, on l'enlève carrément du mur, on dégage du plâtre la gaine ICTA sur 30 cm et on fixe directement sur la nouvelle boite d'encastrement qui se trouve sur le BA13. Là, le problème est résolu puisque les conducteurs du circuit arrivent directement dans leur boites respectives, seul l'aspect esthétique peut jouer voir des prises murales à 30 cm au lieu de 10cm.
Enfin, dernier point toujours sur les connexions et le danger potentiel d'échauffement :
Pourquoi ne pas imaginer faire ce qu'on appelle des repiquages sur les prises existantes et repiquer de 18 cm sur la seconde prise fixée au BA13, car là pour le coup le repiquage est autorisé puisqu'on trouve ici ou là, des schémas de circuit de prise allant jusqu’à 8 postes.
Et dans le cas du repiquage, les conducteurs sont fixés entre eux avec une seule vis et ce mode de connexion doit être sécurisant puisque c'est autorisé.
Bref, beaucoup d'interrogations quant à savoir utiliser la bonne pratique et au final, j'ai le sentiment que la peur s'invite du fait que les connexions ne sont pas visibles et peu accessibles.
J'aurais tendance à rallonger mes conducteurs de la même manière que l'on raccorde une sortie de câble d'un radiateur (et l'exemple vaut aussi pour une prise 32A, dominos pour fixer conducteur).
Cordialement.
Toutes vos suggestions et informations demandent des réponses et des avis.
Je vois que pour ce qui est de rallonger des conducteurs, c'est quand même un problème de sécurité et plusieurs solutions sont à choisir.
Mais, pour bien comprendre, je fais volontairement une comparaison avec la connexion des radiateurs électriques, via une sortie de câble qui se fixe dans une boite d'encastrement.
Au final, j'ai des connexions à réaliser à l'identique, sauf que, pour un radiateur électrique, on ne parle jamais d'épissure, ni de soudure à l'étain : le domino et maintenant le Wago à levier s'avèrent être la solution adéquate.
Car somme toute, la grosse différence entre rallonger des conducteurs de circuit de prises ou d'interrupteurs et connecter un radiateur, c'est la longueur des fils : dans mon cas de rallonge, j'ai des bouts de 18 cm que représentent l'épaisseur de mon isolation ; dans le cas d'un radiateur, le cordon est inférieur à un mètre : et dans les 2 cas, il s'agit d'assurer la continuité à la jonction soit avec des dominos soit avec des Wagos à levier.
Est-ce qu'on a plus de peur avec des fils à rallonger parce-que, on ne voit pas la connexion (puisqu'elle est masquée par l'isolant et le BA13), alors qu'on a moins peur avec une sortie de câble, que l'on voit en apparent.
Autre point : concernant les épissures avec soudure à l'étain, il est dit que ce n'est pas vraiment une soudure et que ce serait plutôt un collage et de plus, la soudure à l'étain aurait tendance à s'oxyder, et donc de provoquer à la longue de l'échauffement.
Bref, on s'aperçoit que rien n'est vraiment bien clair, il y a toujours des arguments contradictoires.
Aussi, ne pourrait-on pas imaginer de relier les conducteurs dans toute la longueur du conduit du domino (en les fixant aux deux extrémités que représentent les 2 vis) et par sécurité, faire couler une goutte d'étain dans chaque orifice du domino, et si l'étain ne le permet pas, utiliser une colle à métaux : là au moins on aurait la certitude que les conducteurs ainsi reliés ne pourraient pas se désunir.
Autre proposition alternative : les prises sont fixées au mur à 10 cm du sol, qu'est-ce qui empêche de les fixer à 30 cm du sol :
dans cette solution, on ne parle plus de connexion à risque sur une ancienne boite d'encastrement logée dans un mur, on l'enlève carrément du mur, on dégage du plâtre la gaine ICTA sur 30 cm et on fixe directement sur la nouvelle boite d'encastrement qui se trouve sur le BA13. Là, le problème est résolu puisque les conducteurs du circuit arrivent directement dans leur boites respectives, seul l'aspect esthétique peut jouer voir des prises murales à 30 cm au lieu de 10cm.
Enfin, dernier point toujours sur les connexions et le danger potentiel d'échauffement :
Pourquoi ne pas imaginer faire ce qu'on appelle des repiquages sur les prises existantes et repiquer de 18 cm sur la seconde prise fixée au BA13, car là pour le coup le repiquage est autorisé puisqu'on trouve ici ou là, des schémas de circuit de prise allant jusqu’à 8 postes.
Et dans le cas du repiquage, les conducteurs sont fixés entre eux avec une seule vis et ce mode de connexion doit être sécurisant puisque c'est autorisé.
Bref, beaucoup d'interrogations quant à savoir utiliser la bonne pratique et au final, j'ai le sentiment que la peur s'invite du fait que les connexions ne sont pas visibles et peu accessibles.
J'aurais tendance à rallonger mes conducteurs de la même manière que l'on raccorde une sortie de câble d'un radiateur (et l'exemple vaut aussi pour une prise 32A, dominos pour fixer conducteur).
Cordialement.
22 juillet 2020 à 19:44

Merci pour vos réponses. Oui effectivement, l'idéal serait de refaire des lignes mais là, il faut quantifier ce travail car il y a 8 pièces dans la maison.
Ensuite, la solution de la soudure à l'étain.
Et en troisième solution : les wagos avec levier.
Mais la question que je me pose et pour laquelle j'ai du mal à comprendre, c'est le mauvais contact qui pourrait provoquer un réel risque.
Je suis trop simpliste peut-être car j'imagine que 2 options dans une connexion : soit les conducteurs sont reliés entre eux, soit ils ne le sont plus : s'ils sont reliés entre eux, le courant passe, si non, le courant ne passera plus.
J'ai du mal à comprendre la définition du mauvais contact : c'est quoi au juste ? un échauffement du même genre que celui qui existe sur les broches des rallonges. Mais si c'est cela, ce n'est pas pour autant que l'échauffement des broches d'une prise provoque un réel danger.
A moins que cet échauffement persiste dans le temps.
Et qu'en est-il alors des protections des différentiels : ont-elles une efficacité ?
Il ne faut peut-être pas trop s'affoler, car sinon on pourrait se demander si toutes les boites de dérivations existantes avec des connexions des conducteurs munis de dominos à l'époque, sont aussi à risque. D'ailleurs toutes ces grosses boites de dérivation ont un couvercle apparent (celui-ci ne doit jamais être masqué) et accessible ; mais personnellement, je n'ai jamais entendu dire qu'il avait fallu intervenir sur une boite de dérivation à cause de mauvaises connexions dans les dominos.
Dans mon cas présent, il s'agit de rallonger des circuits interrupteurs pour l'éclairage et de circuits de prises.
Et cela m'a rappelé un fait survenu il y a une dizaine d'années : un mauvais perçage dans le mur et le foret a sectionné un fil (sur interrupteur éclairage). Pour remettre en état, j'ai raccordé le conducteur sectionné avec un domino, sans soudure. Et depuis 10 ans, aucun problème.
Mais bon désormais, il s'agit de faire au mieux et je ne ferais plus ce genre de connexion.
Je vais voir ce qu'il en est des jonctions thermosoudables isolées, je n'ai jamais entendu parler de cela.
Toujours est-il que je ne dois pas être le seul à chercher une solution avec le moindre risque. On serait trente ans en arrière, je ferais les connexions avec des dominos seuls.
Merci de vos retours.
Cordialement.
Ensuite, la solution de la soudure à l'étain.
Et en troisième solution : les wagos avec levier.
Mais la question que je me pose et pour laquelle j'ai du mal à comprendre, c'est le mauvais contact qui pourrait provoquer un réel risque.
Je suis trop simpliste peut-être car j'imagine que 2 options dans une connexion : soit les conducteurs sont reliés entre eux, soit ils ne le sont plus : s'ils sont reliés entre eux, le courant passe, si non, le courant ne passera plus.
J'ai du mal à comprendre la définition du mauvais contact : c'est quoi au juste ? un échauffement du même genre que celui qui existe sur les broches des rallonges. Mais si c'est cela, ce n'est pas pour autant que l'échauffement des broches d'une prise provoque un réel danger.
A moins que cet échauffement persiste dans le temps.
Et qu'en est-il alors des protections des différentiels : ont-elles une efficacité ?
Il ne faut peut-être pas trop s'affoler, car sinon on pourrait se demander si toutes les boites de dérivations existantes avec des connexions des conducteurs munis de dominos à l'époque, sont aussi à risque. D'ailleurs toutes ces grosses boites de dérivation ont un couvercle apparent (celui-ci ne doit jamais être masqué) et accessible ; mais personnellement, je n'ai jamais entendu dire qu'il avait fallu intervenir sur une boite de dérivation à cause de mauvaises connexions dans les dominos.
Dans mon cas présent, il s'agit de rallonger des circuits interrupteurs pour l'éclairage et de circuits de prises.
Et cela m'a rappelé un fait survenu il y a une dizaine d'années : un mauvais perçage dans le mur et le foret a sectionné un fil (sur interrupteur éclairage). Pour remettre en état, j'ai raccordé le conducteur sectionné avec un domino, sans soudure. Et depuis 10 ans, aucun problème.
Mais bon désormais, il s'agit de faire au mieux et je ne ferais plus ce genre de connexion.
Je vais voir ce qu'il en est des jonctions thermosoudables isolées, je n'ai jamais entendu parler de cela.
Toujours est-il que je ne dois pas être le seul à chercher une solution avec le moindre risque. On serait trente ans en arrière, je ferais les connexions avec des dominos seuls.
Merci de vos retours.
Cordialement.
22 juillet 2020 à 08:55

Bonjour.
Je fais suite à vos suggestions car j'ai des informations qui me semblent contradictoires : au sujet des épissures, il semble que cela soit désormais interdit : vrai ou faux ?
Maintenant, concernant la soudure à l'étain, je ne suis pas du métier et j'oublie, à moins de le faire faire par un électricien mais ça risque de coûter compte tenu que j'ai en tout 12 boites de prises et 5 boites d'interrupteurs qui ont besoin d’être rallongées de 18cm.
J'ai vu par ailleurs, que les dominos ne sont plus à l'ordre du jour, il me reste les Wagos.
Alors finalement, si les épissures sont interdites, la solution serait la connexion avec des Wagos dans les boites encastrées dans les murs (en clair, je transforme les boites d'encastrement en boite de dérivation) et chaque boite sera munie d'un couvercle.
Ensuite je relie les boites de dérivation aux nouvelles boites d'encastrement fixées sur le BA13, grâce à un bout de gaine ICTA de 18cm.
Si par la suite, il y avait besoin d'avoir accès, le trou de 67 mm que représente le diamètre de la boite ne permet pas de se faufiler dans l'isolation pour l'accès aux boites de dérivation, c'est la raison pour laquelle, j'opterais alors pour confectionner des petites trappes sur le BA13, juste suffisantes pour avoir accès aux boites de dérivation situées dans le mur en retrait des 18 cm.
Là au moins, je pense que cette solution est la moins mauvaise car en cas de problème, j'ai accès aux Wagos.
J'attends vos réponses au sujet de l'interdiction ou non des épissures, c'est vrai que j'aimerai que cela soit autorisé et qu'on puisse souder à l'étain.
Merci de vos retours d'information sur ce sujet et sur la solution des Wagos avec accès facile avec des trappes.
Cordialement.
Je fais suite à vos suggestions car j'ai des informations qui me semblent contradictoires : au sujet des épissures, il semble que cela soit désormais interdit : vrai ou faux ?
Maintenant, concernant la soudure à l'étain, je ne suis pas du métier et j'oublie, à moins de le faire faire par un électricien mais ça risque de coûter compte tenu que j'ai en tout 12 boites de prises et 5 boites d'interrupteurs qui ont besoin d’être rallongées de 18cm.
J'ai vu par ailleurs, que les dominos ne sont plus à l'ordre du jour, il me reste les Wagos.
Alors finalement, si les épissures sont interdites, la solution serait la connexion avec des Wagos dans les boites encastrées dans les murs (en clair, je transforme les boites d'encastrement en boite de dérivation) et chaque boite sera munie d'un couvercle.
Ensuite je relie les boites de dérivation aux nouvelles boites d'encastrement fixées sur le BA13, grâce à un bout de gaine ICTA de 18cm.
Si par la suite, il y avait besoin d'avoir accès, le trou de 67 mm que représente le diamètre de la boite ne permet pas de se faufiler dans l'isolation pour l'accès aux boites de dérivation, c'est la raison pour laquelle, j'opterais alors pour confectionner des petites trappes sur le BA13, juste suffisantes pour avoir accès aux boites de dérivation situées dans le mur en retrait des 18 cm.
Là au moins, je pense que cette solution est la moins mauvaise car en cas de problème, j'ai accès aux Wagos.
J'attends vos réponses au sujet de l'interdiction ou non des épissures, c'est vrai que j'aimerai que cela soit autorisé et qu'on puisse souder à l'étain.
Merci de vos retours d'information sur ce sujet et sur la solution des Wagos avec accès facile avec des trappes.
Cordialement.
21 juillet 2020 à 11:07

Bonjour,
Une question pas si simple : j'isole ma maison de l’intérieur avec laine de verre de 160 mm et ba13, ce qui donne à peu près une épaisseur de 18 centimètres.
Dans mon installation électrique existante, les prises et interrupteurs sont encastrés dans les murs et les fils sont trop courts pour pouvoir les fixer aux nouvelles boites d'encastrement qui seront fixées sur le ba13.
De plus, l'installation est telle que je n'ai pas la possibilité d'enlever les fils pour en remettre de nouveau avec 18 cm de longueur supplémentaire.
J'en suis donc dans l'obligation de rallonger mes fils existants avec des bouts de fils de 18cm : mais comment le faire pour que cela soit sécurisé.
Plusieurs choix s'offrent : connexion avec les dominos, ou bien connexions avec des wagos ou bien faire des épissures, ou bien faire des soudures ?
Je suppose que la bonne solution se trouve dans les 4 propositions ci-dessus énumérées, mais ce n'est pas pour autant que je suis sorti d'affaire car il est dit que ces connexions doivent rester accessibles : alors comment faire : enlever l'ancienne boite d'encastrement du mur et la remplacer par une boite de dérivation dans laquelle se trouvera les connexions des fils (dominos, wagos) et faire la liaison avec un bout de gaine ICTA entre la boite de dérivation et la nouvelle boite encastrée dans le ba13 ?
Ou bien, conserver l'ancienne boite d'encastrement du mur, en utilisant le volume intérieur pour y faire les connexions et poser dessus un couvercle de boite de dérivation qui sera percé pour accueillir le bout de gaine ICTA de 18 cm (et encore faut-il que le fait de percer en façade un couvercle de boite de dérivation soit autorisé).
Je suppose que c'est un problème récurrent lorsqu'on isole de l’intérieur mais il est étonnant de ne pas avoir de procédure bien définie.
Existe t-il des boites d'encastrement ou autres types de boite de dérivation spécialement adaptées ou bien doit-on faire à sa manière sans trop de précision.
Merci d'avance pour vos suggestions.
Une question pas si simple : j'isole ma maison de l’intérieur avec laine de verre de 160 mm et ba13, ce qui donne à peu près une épaisseur de 18 centimètres.
Dans mon installation électrique existante, les prises et interrupteurs sont encastrés dans les murs et les fils sont trop courts pour pouvoir les fixer aux nouvelles boites d'encastrement qui seront fixées sur le ba13.
De plus, l'installation est telle que je n'ai pas la possibilité d'enlever les fils pour en remettre de nouveau avec 18 cm de longueur supplémentaire.
J'en suis donc dans l'obligation de rallonger mes fils existants avec des bouts de fils de 18cm : mais comment le faire pour que cela soit sécurisé.
Plusieurs choix s'offrent : connexion avec les dominos, ou bien connexions avec des wagos ou bien faire des épissures, ou bien faire des soudures ?
Je suppose que la bonne solution se trouve dans les 4 propositions ci-dessus énumérées, mais ce n'est pas pour autant que je suis sorti d'affaire car il est dit que ces connexions doivent rester accessibles : alors comment faire : enlever l'ancienne boite d'encastrement du mur et la remplacer par une boite de dérivation dans laquelle se trouvera les connexions des fils (dominos, wagos) et faire la liaison avec un bout de gaine ICTA entre la boite de dérivation et la nouvelle boite encastrée dans le ba13 ?
Ou bien, conserver l'ancienne boite d'encastrement du mur, en utilisant le volume intérieur pour y faire les connexions et poser dessus un couvercle de boite de dérivation qui sera percé pour accueillir le bout de gaine ICTA de 18 cm (et encore faut-il que le fait de percer en façade un couvercle de boite de dérivation soit autorisé).
Je suppose que c'est un problème récurrent lorsqu'on isole de l’intérieur mais il est étonnant de ne pas avoir de procédure bien définie.
Existe t-il des boites d'encastrement ou autres types de boite de dérivation spécialement adaptées ou bien doit-on faire à sa manière sans trop de précision.
Merci d'avance pour vos suggestions.
19 juillet 2020 à 12:07

Bonjour.
Merci de votre retour d'information sur les normes : C'est un peu comme en ce moment avec les masques, il y a la norme AFNOR et il y a le système D Français : je privilégie ce dernier au regard des attentes.
Concernant la physique et toutes ces sciences, j'en suis, je suis même spécialisé dans la métrologie.
Là au moins, je n'ai jamais d'interprétation, il n'y a jamais de cote mal taillée et quand c'est pas bon, c'est pas bon.
Pour reprendre l'exemple des rallonges, si elles sont aux normes, alors elles ont un cahier des charges qui répondent aux exigences de la norme, et peu importe le prix, même le plus bas.
Ou alors, nous sommes à nouveau dans une interprétation. Mais c'est pas clair et net.
En effet, pour reprendre mon exemple de rallonge à bas coût, les indications sont les suivantes :
Conducteur : 3G 1.5mm², type : H05VV-F pour du 16A et capacité : 3680W.
Si je m'en tiens aux indications mentionnées (à moins qu'il y a volontairement des indications erronées), elles sont aux normes au même titre que celles des grandes marques.
Rappelez-vous ce que je vous avais indiqué concernant les radiateurs "grille-pain", on considère quasiment un peu partout sur le web qu'ils sont énergivores, et vous m'avez répondu, que non : car un watt c'est un watt, quel que soit le radiateur à bas prix ou les plus onéreux.
Ce qui est frappant, dans le web au sujet de l'installation électrique, c'est toujours une interprétation et surtout, on n'a que très peu d'information sur les causes des interdictions.
Pour compléter si je peux, en faisant référence aux discussions du port des masques : dans un premier temps, on nous a dit, ça ne sert à rien, et les mêmes désormais s’apprêtent à nous dire : si, c'est vraiment ce qu'il faut faire. Conclusion : ce n'est pas sérieux car la vraie cause au départ, c'était la pénurie et rien d'autre.
Et maintenant, AFNOR commence à élaborer un cahier des charges un peu trop tardif.
Dans mon activité : je sais pourquoi c'est interdit et connaissant les causes de cette interdiction, je m’évertue à prendre toutes les bonnes pratiques pour éviter d’être en défaut.
Bref, je viens de lire que le fameux fil pilote n'est qu'une spécificité Française, j'espère que les rédacteurs de cette norme ne sont pas les mêmes que ceux qui ont rédigés la NF C15-100.
Bon, merci encore pour toutes vos informations qui me sont vraiment utiles et qui me faciliteront la tâche.
J'ouvre aujourd'hui une recherche sur les lasers (pour être d'aplomb avec les contre-cloisons que je dois installer) à première vue, je sens que je vais patauger tant les avis divergent.
Cordialement.
Merci de votre retour d'information sur les normes : C'est un peu comme en ce moment avec les masques, il y a la norme AFNOR et il y a le système D Français : je privilégie ce dernier au regard des attentes.
Concernant la physique et toutes ces sciences, j'en suis, je suis même spécialisé dans la métrologie.
Là au moins, je n'ai jamais d'interprétation, il n'y a jamais de cote mal taillée et quand c'est pas bon, c'est pas bon.
Pour reprendre l'exemple des rallonges, si elles sont aux normes, alors elles ont un cahier des charges qui répondent aux exigences de la norme, et peu importe le prix, même le plus bas.
Ou alors, nous sommes à nouveau dans une interprétation. Mais c'est pas clair et net.
En effet, pour reprendre mon exemple de rallonge à bas coût, les indications sont les suivantes :
Conducteur : 3G 1.5mm², type : H05VV-F pour du 16A et capacité : 3680W.
Si je m'en tiens aux indications mentionnées (à moins qu'il y a volontairement des indications erronées), elles sont aux normes au même titre que celles des grandes marques.
Rappelez-vous ce que je vous avais indiqué concernant les radiateurs "grille-pain", on considère quasiment un peu partout sur le web qu'ils sont énergivores, et vous m'avez répondu, que non : car un watt c'est un watt, quel que soit le radiateur à bas prix ou les plus onéreux.
Ce qui est frappant, dans le web au sujet de l'installation électrique, c'est toujours une interprétation et surtout, on n'a que très peu d'information sur les causes des interdictions.
Pour compléter si je peux, en faisant référence aux discussions du port des masques : dans un premier temps, on nous a dit, ça ne sert à rien, et les mêmes désormais s’apprêtent à nous dire : si, c'est vraiment ce qu'il faut faire. Conclusion : ce n'est pas sérieux car la vraie cause au départ, c'était la pénurie et rien d'autre.
Et maintenant, AFNOR commence à élaborer un cahier des charges un peu trop tardif.
Dans mon activité : je sais pourquoi c'est interdit et connaissant les causes de cette interdiction, je m’évertue à prendre toutes les bonnes pratiques pour éviter d’être en défaut.
Bref, je viens de lire que le fameux fil pilote n'est qu'une spécificité Française, j'espère que les rédacteurs de cette norme ne sont pas les mêmes que ceux qui ont rédigés la NF C15-100.
Bon, merci encore pour toutes vos informations qui me sont vraiment utiles et qui me faciliteront la tâche.
J'ouvre aujourd'hui une recherche sur les lasers (pour être d'aplomb avec les contre-cloisons que je dois installer) à première vue, je sens que je vais patauger tant les avis divergent.
Cordialement.
21 avril 2020 à 09:11

Bonjour,
Merci encore une fois pour vos réponses bien détaillées.
Cependant, quand vous dites :
Second point, comme vous dites, la norme est souvent une cote mal taillée, et là sur ce point, je suis d'accord car on peut toujours attendre les vraies explications, il n'y en a très peu et on doit alors, comme je le vois souvent sur le web, à une foultitude d'interprétations. Ce qui est vraiment dommage.
Pour autant, la norme en électricité n'est pas la seule à être pointée du doigt. Comme je dois réaliser également l'isolation en contre cloison, je trouve également des interprétations qui partent dans tous les sens sur la pose du BA13. Heureusement, il y a des vidéos qui sont diffusés par des vrais professionnels et qui sont didactiques.
L'avantage aussi c'est de pouvoir tester ce qu'ils disent avant de poser. C'est ce que je fais et je confirme que ces vidéos sont conformes aux règles.
Par contre, en installation électrique, là, on ne peut pas faire des tests, on s'informe beaucoup, on pose des questions, comme je le fais souvent sur votre forum, et ensuite on résume, on condense les informations et on y va direct pour installer.
Pour revenir au sujet du nombre d'ampoules, cela me conforme dans mon idée de base : l'adéquation du nombre avec la consommation en watt.
De toute manière, désormais avec les ampoules LED (celles que j'ai sont du 9.5w et rendent du 60w) je pourrais avoir 8 lustres de 4 ampoules ou comme vous dites mettre des rampes de spots (7 rampes de 6 spots de 50w, je n'aurais que 2100 watts en consommation, en même temps, et le tout sur un fil de 1.5 mm².
C'est vraiment dommage que certains prennent à la lettre la norme et divulguent des informations aussi éloignées de la réalité du terrain.
Heureusement votre forum s’appuie sur une base de connaissance suffisamment détaillée qu'il est permis de penser que ce soit des professionnels qui soient là pour remonter les retours d'expériences.
Avant de conclure, je reviens sur le sujet des rallonges avec les broches qui s'échauffent, et notamment sur la recommandation pour éviter si possible d'acheter ces rallonges dans les bacs à premier prix des GMS et de privilégier d'autres rallonges de marque.
Si cela est vrai, et je ne doute pas de cette recommandation, pourquoi est-il indiqué sur l'emballage que c'est du NF, qu'il y a un indice IP20.
Car si ces rallonges sont aux normes, pourquoi les éviter lors du choix d'un achat ?
Cordialement.
Merci encore une fois pour vos réponses bien détaillées.
Cependant, quand vous dites :
Citation :Je comprends pour la prise de courant mais sans connecteur, ça veut dire quoi ? Car si je m'en tiens au sens premier du terme, c'est pour connecter et je pense aux dominos ou aux wagos, je ne vois pas ce que pourrait être un autre connecteur mais cela doit exister puisque la norme l'interdit.
sans interposition de prise de courant ni de connecteur.
Second point, comme vous dites, la norme est souvent une cote mal taillée, et là sur ce point, je suis d'accord car on peut toujours attendre les vraies explications, il n'y en a très peu et on doit alors, comme je le vois souvent sur le web, à une foultitude d'interprétations. Ce qui est vraiment dommage.
Pour autant, la norme en électricité n'est pas la seule à être pointée du doigt. Comme je dois réaliser également l'isolation en contre cloison, je trouve également des interprétations qui partent dans tous les sens sur la pose du BA13. Heureusement, il y a des vidéos qui sont diffusés par des vrais professionnels et qui sont didactiques.
L'avantage aussi c'est de pouvoir tester ce qu'ils disent avant de poser. C'est ce que je fais et je confirme que ces vidéos sont conformes aux règles.
Par contre, en installation électrique, là, on ne peut pas faire des tests, on s'informe beaucoup, on pose des questions, comme je le fais souvent sur votre forum, et ensuite on résume, on condense les informations et on y va direct pour installer.
Pour revenir au sujet du nombre d'ampoules, cela me conforme dans mon idée de base : l'adéquation du nombre avec la consommation en watt.
De toute manière, désormais avec les ampoules LED (celles que j'ai sont du 9.5w et rendent du 60w) je pourrais avoir 8 lustres de 4 ampoules ou comme vous dites mettre des rampes de spots (7 rampes de 6 spots de 50w, je n'aurais que 2100 watts en consommation, en même temps, et le tout sur un fil de 1.5 mm².
C'est vraiment dommage que certains prennent à la lettre la norme et divulguent des informations aussi éloignées de la réalité du terrain.
Heureusement votre forum s’appuie sur une base de connaissance suffisamment détaillée qu'il est permis de penser que ce soit des professionnels qui soient là pour remonter les retours d'expériences.
Avant de conclure, je reviens sur le sujet des rallonges avec les broches qui s'échauffent, et notamment sur la recommandation pour éviter si possible d'acheter ces rallonges dans les bacs à premier prix des GMS et de privilégier d'autres rallonges de marque.
Si cela est vrai, et je ne doute pas de cette recommandation, pourquoi est-il indiqué sur l'emballage que c'est du NF, qu'il y a un indice IP20.
Car si ces rallonges sont aux normes, pourquoi les éviter lors du choix d'un achat ?
Cordialement.
20 avril 2020 à 09:47

Bonjour,
Oui, j'ai bien vu que c'était le catalogue Legrand (qui est assez technique quand même pour les novices).
Mais bon, les dimensions de mon choix de moulure ne correspondent pas ; à moins alors que je passe tout en moulure Legrand, là je suis d'accord avec vous, en faisant abstraction du coût, j'aurais quelque chose de bien, d'esthétique et de sécurisé.
Mais comme l'avait dit votre intervenant GL, on s'adapte et j'adapte aussi en fonction de mon budget.
Pour revenir au choix d'utiliser une prise ou non pour raccorder un radiateur électrique, finalement s'il n'y aurait pas d'interdiction formelle (j'ai bien noté que le seul risque d'une prise c'est l'effet joule, confirmé par un livre de la collection : comme un pro sur l'installation électrique) mais alors, pourquoi la norme l'interdit.
Est-ce que c'est à cause du circuit de prise existant (5 prises ou 8 prises) et que sans y prêter attention, on ajouterait un radiateur qui ferait que le circuit ne pourrait supporter l'ajout de watt, puisqu'il y a une limite à ne pas dépasser. Car il me semble que ce n'est pas suffisant de dire : c'est interdit, encore faut-il donner la vraie raison.
Qu'en est-il donc du pourquoi de cette interdiction ?
Du coup, je profite de l'occasion pour vous poser une autre question, qui elle aussi mérite un intérêt :
Toujours dans les normes, il est dit pour les circuits d'éclairage : pas plus de 8 points lumineux ?
Mais ça veut dire quoi, car on trouve tout et son contraire sur certains sites internet.
Certains disent : pas plus de 8 points lumineux, c'est égal à pas plus de 8 ampoules ou 8 douilles !
Ça me semble être une grosse ânerie, et encore je reste poli.
Un exemple vrai, le mien : j'ai deux lustres avec chacun 4 ampoules, ce qui me donne en tout pour les 2 lustres : 8 ampoules (8 douilles), si je lis les âneries, je suis au maxi des 8 points lumineux, alors que pour ma part je n'ai que deux points lumineux.
Je ne comprends pas leur raisonnement en terme de points lumineux, personnellement, je pense qu'il serait juste de raisonner en terme de consommation en watt.
Je m'explique : la norme dit qu'il faut du 1.5mm² et une protection théorique de 10A, même souvent dans les schémas on utilise du 16A.
Mais bon, admettons que j'ai du 1.5mm² avec DJ10A, çae me donne selon que je calcule avec 220 volts ou 230 volts : soit un maxi autorisé de 2200 watts à 2300 watts.
Or, dans mon exemple de 2 lustres j'ai en tout 8 ampoules, et j'imagine qu'elles sont celles que j'utilisais il y a longtemps, à savoir des ampoules de 100 watts, mon total à l'époque était de 8 ampoules x 100 w, soit 800 watts.
Vous constaterez que mes 2 lustres consomment maxi 800 watts et je suis loin très loin du maxi autorisé par la norme avec ses 2200 watts sur un seul circuit d'éclairage.
De plus désormais, j'utilise des ampoules basse consommation, mes dernières en date font 9.5 watts pour un éclairage rendu de 60w : donc mes deux lustres avec 8 ampoules de 9.5 watts consomment en tout 76 watts, et d'après certains, stop, je suis au taquet, car j'utilise 8 points lumineux. Donc là, si c'est vrai, la norme ne veut pas dire grand chose, n'est pas vraiment explicite, et surtout, il y a beaucoup d'âneries divulguées ici ou là.
Par contre, concernant les spots, il est dit qu'un point lumineux équivaut à 6 spots de 50w, soit ici 300w par point lumineux (qui en réel est composé de 6 douilles).
Et là, la norme rentre dans les clous, car si dans l'absurde, on avait un éclairage dans une maison qu'avec des spots, alors j'aurais droit toujours à 8 points lumineux mais composé chacun de 6 spots, soit une consommation totale de 48 spots x 50 watts, ce qui me donnerait un total de 2400 watts.
Est-ce que j'ai raison dans cet exemple démontré par l'absurde, il est évident qu'à ce jour je ne connais pas de maison entièrement composée que de spots.
Ce que je voudrais savoir c'est si je dois écouter les âneries du genre "8 ampoules, c'est le maxi car c'est 8 points lumineux" ou si je dois m'en tenir au total en watts qui circulent dans le circuit d'éclairage, que ce soit avec des ampoules, unitaires ou avec des rampes de spots.
Merci de m'éclairer (sans jeu de mots).
Cordialement.
Oui, j'ai bien vu que c'était le catalogue Legrand (qui est assez technique quand même pour les novices).
Mais bon, les dimensions de mon choix de moulure ne correspondent pas ; à moins alors que je passe tout en moulure Legrand, là je suis d'accord avec vous, en faisant abstraction du coût, j'aurais quelque chose de bien, d'esthétique et de sécurisé.
Mais comme l'avait dit votre intervenant GL, on s'adapte et j'adapte aussi en fonction de mon budget.
Pour revenir au choix d'utiliser une prise ou non pour raccorder un radiateur électrique, finalement s'il n'y aurait pas d'interdiction formelle (j'ai bien noté que le seul risque d'une prise c'est l'effet joule, confirmé par un livre de la collection : comme un pro sur l'installation électrique) mais alors, pourquoi la norme l'interdit.
Est-ce que c'est à cause du circuit de prise existant (5 prises ou 8 prises) et que sans y prêter attention, on ajouterait un radiateur qui ferait que le circuit ne pourrait supporter l'ajout de watt, puisqu'il y a une limite à ne pas dépasser. Car il me semble que ce n'est pas suffisant de dire : c'est interdit, encore faut-il donner la vraie raison.
Qu'en est-il donc du pourquoi de cette interdiction ?
Du coup, je profite de l'occasion pour vous poser une autre question, qui elle aussi mérite un intérêt :
Toujours dans les normes, il est dit pour les circuits d'éclairage : pas plus de 8 points lumineux ?
Mais ça veut dire quoi, car on trouve tout et son contraire sur certains sites internet.
Certains disent : pas plus de 8 points lumineux, c'est égal à pas plus de 8 ampoules ou 8 douilles !
Ça me semble être une grosse ânerie, et encore je reste poli.
Un exemple vrai, le mien : j'ai deux lustres avec chacun 4 ampoules, ce qui me donne en tout pour les 2 lustres : 8 ampoules (8 douilles), si je lis les âneries, je suis au maxi des 8 points lumineux, alors que pour ma part je n'ai que deux points lumineux.
Je ne comprends pas leur raisonnement en terme de points lumineux, personnellement, je pense qu'il serait juste de raisonner en terme de consommation en watt.
Je m'explique : la norme dit qu'il faut du 1.5mm² et une protection théorique de 10A, même souvent dans les schémas on utilise du 16A.
Mais bon, admettons que j'ai du 1.5mm² avec DJ10A, çae me donne selon que je calcule avec 220 volts ou 230 volts : soit un maxi autorisé de 2200 watts à 2300 watts.
Or, dans mon exemple de 2 lustres j'ai en tout 8 ampoules, et j'imagine qu'elles sont celles que j'utilisais il y a longtemps, à savoir des ampoules de 100 watts, mon total à l'époque était de 8 ampoules x 100 w, soit 800 watts.
Vous constaterez que mes 2 lustres consomment maxi 800 watts et je suis loin très loin du maxi autorisé par la norme avec ses 2200 watts sur un seul circuit d'éclairage.
De plus désormais, j'utilise des ampoules basse consommation, mes dernières en date font 9.5 watts pour un éclairage rendu de 60w : donc mes deux lustres avec 8 ampoules de 9.5 watts consomment en tout 76 watts, et d'après certains, stop, je suis au taquet, car j'utilise 8 points lumineux. Donc là, si c'est vrai, la norme ne veut pas dire grand chose, n'est pas vraiment explicite, et surtout, il y a beaucoup d'âneries divulguées ici ou là.
Par contre, concernant les spots, il est dit qu'un point lumineux équivaut à 6 spots de 50w, soit ici 300w par point lumineux (qui en réel est composé de 6 douilles).
Et là, la norme rentre dans les clous, car si dans l'absurde, on avait un éclairage dans une maison qu'avec des spots, alors j'aurais droit toujours à 8 points lumineux mais composé chacun de 6 spots, soit une consommation totale de 48 spots x 50 watts, ce qui me donnerait un total de 2400 watts.
Est-ce que j'ai raison dans cet exemple démontré par l'absurde, il est évident qu'à ce jour je ne connais pas de maison entièrement composée que de spots.
Ce que je voudrais savoir c'est si je dois écouter les âneries du genre "8 ampoules, c'est le maxi car c'est 8 points lumineux" ou si je dois m'en tenir au total en watts qui circulent dans le circuit d'éclairage, que ce soit avec des ampoules, unitaires ou avec des rampes de spots.
Merci de m'éclairer (sans jeu de mots).
Cordialement.
19 avril 2020 à 08:05

Bonjour,
Bon, OK je demande à voir en réel cet adaptateur, le problème sur ce catalogue c'est qu'il est destiné aux pros et comme j'ai vu sur la page des mosaic, je l'ai écarté de ma sélection.
Mais sur le catalogue, il ne parle pas franchement d’utilisation en sortie de câble.
Lorsque les magasins spécialisés vont rouvrir, je demanderai au conseiller de me montrer ce modèle que vous indiquez et je verrai bien s'il y a un serre câble, sinon ce n'est pas ce qu'on appelle une sortie de câble.
L'autre modèle, oui, il est semblable à celui que j'ai trouvé, et le vôtre ou le mien est satisfaisant pour le raccordement du radiateur.
Par ailleurs c'est pour la moulure DLPlus 20 x12.5. Mon choix s'est porté pour une moulure 32 mm x 12 mm, c'est une autre marque qui est moins onéreuse que celle que vous m'indiquez et comme je l'indiquais dans un précédent post, compte tenu que ce n'est qu'un morceau de plastique blanc, je ne vois aucun sens à mettre de l'argent.
Et d'ailleurs, quand vous voyez le prix des accessoires (les angles, les jonctions) cela revient cher au kilo.
Je profite de cet instant pour revenir sur une question déjà posée, au sujet de l'échauffement des broches sur une rallonge (quand on met en route une crêpière par exemple), j'ai eu une réponse détaillée de l'intervenant GL et il disait que c'était dû à l'effet joule par contact à cause de la surface lisse des broches.
Du coup, j'en suis arrivé à me dire si l'obligation de raccorder un radiateur électrique avec uniquement une sortie de câble (en fait, on raccorde avec un domino ou des wagos) n'était pas la conséquence de cet effet d'échauffement.
Car avant cette obligation, les radiateurs électriques (fixes ou mobiles) étaient toujours munis d'une prise mâle et on branchait ces radiateurs dans une des prises femelles du circuit de prises.
Idem pour brancher un four, désormais il y a aussi une sorte de sortie de câble et les appareils ne sont plus vendus avec une prise mâle (on n'a que le cordon des conducteurs).
Ma question : l'interdiction est-elle due à l'effet joule qui échauffait les anciennes broches des radiateurs.
Ou bien s'agit-il d'un autre problème ?
Cordialement.
Bon, OK je demande à voir en réel cet adaptateur, le problème sur ce catalogue c'est qu'il est destiné aux pros et comme j'ai vu sur la page des mosaic, je l'ai écarté de ma sélection.
Mais sur le catalogue, il ne parle pas franchement d’utilisation en sortie de câble.
Lorsque les magasins spécialisés vont rouvrir, je demanderai au conseiller de me montrer ce modèle que vous indiquez et je verrai bien s'il y a un serre câble, sinon ce n'est pas ce qu'on appelle une sortie de câble.
L'autre modèle, oui, il est semblable à celui que j'ai trouvé, et le vôtre ou le mien est satisfaisant pour le raccordement du radiateur.
Par ailleurs c'est pour la moulure DLPlus 20 x12.5. Mon choix s'est porté pour une moulure 32 mm x 12 mm, c'est une autre marque qui est moins onéreuse que celle que vous m'indiquez et comme je l'indiquais dans un précédent post, compte tenu que ce n'est qu'un morceau de plastique blanc, je ne vois aucun sens à mettre de l'argent.
Et d'ailleurs, quand vous voyez le prix des accessoires (les angles, les jonctions) cela revient cher au kilo.
Je profite de cet instant pour revenir sur une question déjà posée, au sujet de l'échauffement des broches sur une rallonge (quand on met en route une crêpière par exemple), j'ai eu une réponse détaillée de l'intervenant GL et il disait que c'était dû à l'effet joule par contact à cause de la surface lisse des broches.
Du coup, j'en suis arrivé à me dire si l'obligation de raccorder un radiateur électrique avec uniquement une sortie de câble (en fait, on raccorde avec un domino ou des wagos) n'était pas la conséquence de cet effet d'échauffement.
Car avant cette obligation, les radiateurs électriques (fixes ou mobiles) étaient toujours munis d'une prise mâle et on branchait ces radiateurs dans une des prises femelles du circuit de prises.
Idem pour brancher un four, désormais il y a aussi une sorte de sortie de câble et les appareils ne sont plus vendus avec une prise mâle (on n'a que le cordon des conducteurs).
Ma question : l'interdiction est-elle due à l'effet joule qui échauffait les anciennes broches des radiateurs.
Ou bien s'agit-il d'un autre problème ?
Cordialement.
18 avril 2020 à 08:38

Re bonjour,
Dans votre proposition, où le cadre est intégré à la moulure, j'ai consulté le site du fabricant et à aucun moment, il n'est fait mention (il y a plusieurs notices et documents avec schémas) pour réceptionner une sortie de câble, d'ailleurs, il n'y a pas de serre câble : les exemples de schémas sont pour les prises de courant modèle Mozaic).
C'est comme je vous avais dit précédemment, c'est un adaptateur pour prise ou éventuellement interrupteur, il suffit aussi de regarder le type de montage aussi bien en vertical qu'horizontal.
Pour ma part, à moins d'avoir vu ce modèle en face de moi, je considère qu'un adaptateur pour moulure pour raccorder un radiateur n'est pas référencé.
Du coup, je vais m'en tenir au choix du modèle de boite en saillie, de type 2 en 1 (dominos + serre-câble intégré dedans) et cette boite sera posée à fleur de la moulure.
Car finalement, j’abandonne l'idée de créer une saignée pour faire un encastrement, il faut déjà du matériel et c'est salissant.
Tans pis, si ce montage n'est pas le top mais comment faire autrement ?
J'aurais très bien pu me dire d'utiliser un adaptateur avec prise et ensuite raccorder les fils du radiateur avec une prise mâle, mais bon, c'est interdit, et en plus j'aurais eu le problème du fil pilote car sur une prise, il n'y a que 3 fils.
Merci encore de toute votre amabilité pour m'aider dans mon installation.
Cordialement.
Dans votre proposition, où le cadre est intégré à la moulure, j'ai consulté le site du fabricant et à aucun moment, il n'est fait mention (il y a plusieurs notices et documents avec schémas) pour réceptionner une sortie de câble, d'ailleurs, il n'y a pas de serre câble : les exemples de schémas sont pour les prises de courant modèle Mozaic).
C'est comme je vous avais dit précédemment, c'est un adaptateur pour prise ou éventuellement interrupteur, il suffit aussi de regarder le type de montage aussi bien en vertical qu'horizontal.
Pour ma part, à moins d'avoir vu ce modèle en face de moi, je considère qu'un adaptateur pour moulure pour raccorder un radiateur n'est pas référencé.
Du coup, je vais m'en tenir au choix du modèle de boite en saillie, de type 2 en 1 (dominos + serre-câble intégré dedans) et cette boite sera posée à fleur de la moulure.
Car finalement, j’abandonne l'idée de créer une saignée pour faire un encastrement, il faut déjà du matériel et c'est salissant.
Tans pis, si ce montage n'est pas le top mais comment faire autrement ?
J'aurais très bien pu me dire d'utiliser un adaptateur avec prise et ensuite raccorder les fils du radiateur avec une prise mâle, mais bon, c'est interdit, et en plus j'aurais eu le problème du fil pilote car sur une prise, il n'y a que 3 fils.
Merci encore de toute votre amabilité pour m'aider dans mon installation.
Cordialement.
17 avril 2020 à 18:23

Bonjour.
Tout en lisant vos suggestions, je suis tombé ce matin sur une boite de dérivation en saillie, à fixer au mur par vis (système 2 en 1, pour sortie de câble avec une barrette domino nylbloc) ça ressemble comme deux gouttes d'eau à votre suggestion numéro deux :
https://www.legrand.fr/catalogue/prise/boite-de-derivation-et-sortie-de-cable-appareillage-saillie-emballage-brochable-blanc
Là, dans ce cas, les conducteurs du câble 4g 1.5 mm² se trouvant dans la moulure seraient reliés au domino de l’intérieur de la boite de dérivation et sur ce même domino, seraient raccordés le cordon des 4 fils provenant du radiateur et celui-ci (le cordon = petit câble) serait fixé dans la boite à l'aide du serre câble.
Dans ce cas, si ma proposition est juste, j'aurais résolu avec votre concours le problème du raccordement d'un radiateur sur une moulure.
A voir votre avis si j'ai bien compris.
Cordialement.
Tout en lisant vos suggestions, je suis tombé ce matin sur une boite de dérivation en saillie, à fixer au mur par vis (système 2 en 1, pour sortie de câble avec une barrette domino nylbloc) ça ressemble comme deux gouttes d'eau à votre suggestion numéro deux :
https://www.legrand.fr/catalogue/prise/boite-de-derivation-et-sortie-de-cable-appareillage-saillie-emballage-brochable-blanc
Là, dans ce cas, les conducteurs du câble 4g 1.5 mm² se trouvant dans la moulure seraient reliés au domino de l’intérieur de la boite de dérivation et sur ce même domino, seraient raccordés le cordon des 4 fils provenant du radiateur et celui-ci (le cordon = petit câble) serait fixé dans la boite à l'aide du serre câble.
Dans ce cas, si ma proposition est juste, j'aurais résolu avec votre concours le problème du raccordement d'un radiateur sur une moulure.
A voir votre avis si j'ai bien compris.
Cordialement.
17 avril 2020 à 10:03

Bonjour.
En réponse, la moulure a une dimension de 32 mm large x 12mm hauteur.
La dimension de la sortie de câble est de 75 mm x 75mm donc là, à mon avis c'est pas possible au regard des dimensions.
Dans votre deuxième proposition, vous dites :
Enfin, troisième solution : un cadre en saillie en bout de la moulure, mais question majeure, j'ai vu que les cadres ont au moins deux orifices latéraux en forme de rectangle, pourquoi ? Le passage des conducteurs ?
Et seconde question : Si j'opte quand même pour un cadre en saillie, les sorties de câbles habituellement vendues à destination des boites d'encastrement sont-elles adaptées pour être fixées sur un cadre, ou bien y a t-il un accessoire intermédiaire ?
Par ailleurs, il y aurait une quatrième solution : Faire une saignée et encastrer : Là au moins, je n'aurais besoin que d'une boite d'encastrement dans laquelle je fixerais la sortie de câble spécifique pour le raccordement des radiateurs.
Finalement, au fur et à mesure des avancées, je m'aperçois que l'installation électrique en rénovation est compliquée, sauf à pouvoir tout encastrer, mais dès qu'on se trouve en installation apparente, ça devient complexe et comme vous dites. :
Bon, j'espère trouver la solution.
Cordialement.
En réponse, la moulure a une dimension de 32 mm large x 12mm hauteur.
La dimension de la sortie de câble est de 75 mm x 75mm donc là, à mon avis c'est pas possible au regard des dimensions.
Dans votre deuxième proposition, vous dites :
Citation :Mais là, admettons que j'ai cette possibilité, il y aura raccordement du câble à l'intérieur de la moulure, soit par des Wagos, soit par des dominos : Si mon raisonnement est bon, c'est un raccord dans la moulure sans l'utilisation d'une sortie de câble.
Sinon, si la moulure est grande, vous faites une petite encoche pour y passer le câble que vous raccordez dedans
Enfin, troisième solution : un cadre en saillie en bout de la moulure, mais question majeure, j'ai vu que les cadres ont au moins deux orifices latéraux en forme de rectangle, pourquoi ? Le passage des conducteurs ?
Et seconde question : Si j'opte quand même pour un cadre en saillie, les sorties de câbles habituellement vendues à destination des boites d'encastrement sont-elles adaptées pour être fixées sur un cadre, ou bien y a t-il un accessoire intermédiaire ?
Par ailleurs, il y aurait une quatrième solution : Faire une saignée et encastrer : Là au moins, je n'aurais besoin que d'une boite d'encastrement dans laquelle je fixerais la sortie de câble spécifique pour le raccordement des radiateurs.
Finalement, au fur et à mesure des avancées, je m'aperçois que l'installation électrique en rénovation est compliquée, sauf à pouvoir tout encastrer, mais dès qu'on se trouve en installation apparente, ça devient complexe et comme vous dites. :
Citation :Encore faut-il avoir un minimum de connaissances.
Bref, on s'adapte.
Bon, j'espère trouver la solution.
Cordialement.
17 avril 2020 à 08:19

Bonjour,
J'ai un problème concernant le raccordement de radiateurs électriques sur des moulures : je ne trouve pas de solution, il y a des adaptateurs pour moulure mais que pour des interrupteurs ou des prises, rien pour les radiateurs : or, le raccordement doit être fait dans les règles avec une sortie de câble.
Quelle serait la bonne solution : Si je ne peux pas raccorder à une moulure ?
J'imagine fixer un cadre en saillie en bout de la moulure.
Mais bon, encore faut-il qu'il existe ensuite une sortie de câble adaptée à un cadre en saillie car je ne pense pas qu'une sortie de câble à encastrer (ce que l'on fait habituellement avec une boîte d'encastrement lorsque le câblage du circuit se trouve dans une contre cloison) puisse servir également pour être fixée sur un cadre en saillie.
Et peut-être faut-il ajouter des accessoires entre le cadre en saillie en la sortie de câble ?
C'est la raison pour laquelle, je souhaite connaitre vos avis sur la question car pour ce qui concerne mes autres circuits de radiateurs, je n'ai pas de problème car le raccordement s'effectuera sur la contre cloison, avec l'aide de boite d'encastrement sur lesquels seront fixés les sorties de câbles appropriés.
Et comme j'ai aussi prévu 2 circuits de prises sous contre cloison, j'opérerai de la même manière (boite d'encastrement fixée au BA13 sur laquelle viendra se fixer une prise adéquate).
Mais là, pour raccorder en apparent, sur moulure, un radiateur électrique, je ne vois pas comment faire ?
Quels sont les matériels à prévoir pour un montage dans les règles ?
Cordialement.
J'ai un problème concernant le raccordement de radiateurs électriques sur des moulures : je ne trouve pas de solution, il y a des adaptateurs pour moulure mais que pour des interrupteurs ou des prises, rien pour les radiateurs : or, le raccordement doit être fait dans les règles avec une sortie de câble.
Quelle serait la bonne solution : Si je ne peux pas raccorder à une moulure ?
J'imagine fixer un cadre en saillie en bout de la moulure.
Mais bon, encore faut-il qu'il existe ensuite une sortie de câble adaptée à un cadre en saillie car je ne pense pas qu'une sortie de câble à encastrer (ce que l'on fait habituellement avec une boîte d'encastrement lorsque le câblage du circuit se trouve dans une contre cloison) puisse servir également pour être fixée sur un cadre en saillie.
Et peut-être faut-il ajouter des accessoires entre le cadre en saillie en la sortie de câble ?
C'est la raison pour laquelle, je souhaite connaitre vos avis sur la question car pour ce qui concerne mes autres circuits de radiateurs, je n'ai pas de problème car le raccordement s'effectuera sur la contre cloison, avec l'aide de boite d'encastrement sur lesquels seront fixés les sorties de câbles appropriés.
Et comme j'ai aussi prévu 2 circuits de prises sous contre cloison, j'opérerai de la même manière (boite d'encastrement fixée au BA13 sur laquelle viendra se fixer une prise adéquate).
Mais là, pour raccorder en apparent, sur moulure, un radiateur électrique, je ne vois pas comment faire ?
Quels sont les matériels à prévoir pour un montage dans les règles ?
Cordialement.
16 avril 2020 à 21:14

Bonjour.
J'ai bien noté vos dires :
Concernant le bloc multiprise avec indicateur de surcharge, je complète car il est aussi équipé d'un disjoncteur de sécurité.
Comme dit dans votre précédent message, c'est un produit de marque Legrand (bloc 4 prises / 16A /3500W).
Au vu de son prix : supérieur a 40 euros, je m'en tiens a n'utiliser des blocs que sur des appareillages de petites consommations.
Cordialement.
J'ai bien noté vos dires :
Concernant le bloc multiprise avec indicateur de surcharge, je complète car il est aussi équipé d'un disjoncteur de sécurité.
Comme dit dans votre précédent message, c'est un produit de marque Legrand (bloc 4 prises / 16A /3500W).
Au vu de son prix : supérieur a 40 euros, je m'en tiens a n'utiliser des blocs que sur des appareillages de petites consommations.
Cordialement.
16 avril 2020 à 08:49

Bonjour.
Merci pour vos explications qui sont détaillées.
J'ai bien noté le danger que représente l'utilisation des prises multiples en premier prix.
Mais alors, si on veut obtenir une sécurité totale dans l'utilisation d'un bloc multiprises, est-ce que les rallonges composées de plusieurs blocs de prises munies d'un indicateur de surcharge et qui coupe le courant en cas de dépassement de la puissance tolérée est indispensable ou superflu.
Là aussi, si on raisonne en terme de prix, on abandonne l'idée car c'est sans commune mesure avec comme vous dites les premiers prix dans les bacs des GSB.
Est-ce un bon choix que d'avoir des blocs multiprises avec indicateur de surcharge ?
Ou bien cela n'a t-il aucune influence avec l'échauffement des broches.
Cordialement.
Merci pour vos explications qui sont détaillées.
J'ai bien noté le danger que représente l'utilisation des prises multiples en premier prix.
Mais alors, si on veut obtenir une sécurité totale dans l'utilisation d'un bloc multiprises, est-ce que les rallonges composées de plusieurs blocs de prises munies d'un indicateur de surcharge et qui coupe le courant en cas de dépassement de la puissance tolérée est indispensable ou superflu.
Là aussi, si on raisonne en terme de prix, on abandonne l'idée car c'est sans commune mesure avec comme vous dites les premiers prix dans les bacs des GSB.
Est-ce un bon choix que d'avoir des blocs multiprises avec indicateur de surcharge ?
Ou bien cela n'a t-il aucune influence avec l'échauffement des broches.
Cordialement.
15 avril 2020 à 08:30

Bonjour.
Merci pour vos explications respectives sur la nature des matériaux qui s'échauffent et s'illuminent.
J'ai encore une petite question à ce sujet : Lorsqu'on branche une rallonge à un petit appareil électroménager (du genre crêpière ou bien gaufrier), pourquoi les broches au niveau du raccordement entre l'appareil et la rallonge sont toujours brûlantes alors que le cordon de l'appareil n'est pas vraiment chaud. Ni la rallonge au niveau de la prise.
C'est toujours au niveau des broches du raccordement que le phénomène se produit.
Est-ce que ce serait dû aux broches qui seraient faites d'un alliage particulier autre que les fils en cuivre de la rallonge.
C'est assez étonnant car c'est un peu similaire à un échauffement à cet endroit précis.
Cordialement.
Merci pour vos explications respectives sur la nature des matériaux qui s'échauffent et s'illuminent.
J'ai encore une petite question à ce sujet : Lorsqu'on branche une rallonge à un petit appareil électroménager (du genre crêpière ou bien gaufrier), pourquoi les broches au niveau du raccordement entre l'appareil et la rallonge sont toujours brûlantes alors que le cordon de l'appareil n'est pas vraiment chaud. Ni la rallonge au niveau de la prise.
C'est toujours au niveau des broches du raccordement que le phénomène se produit.
Est-ce que ce serait dû aux broches qui seraient faites d'un alliage particulier autre que les fils en cuivre de la rallonge.
C'est assez étonnant car c'est un peu similaire à un échauffement à cet endroit précis.
Cordialement.
14 avril 2020 à 13:43

Bonjour.
Ce doit être un côté pratique pour le conducteur tressé finement : c'est vrai qu'on imagine mal déroulée une rallonge avec du fil rigide.
Par contre, j'avais une autre question : J'ai pris le pied à coulisse et j'ai mesuré les conducteurs en 1.5 mm² et en 2.5 mm², je pensais trouver des diamètres identiques correspondants à chaque section mais ce n'est pas le cas, je suppose que pour trouver une correspondance entre section et diamètre, il y a le calcul de l'aire du conducteur ?
Et pour finir, une seconde question qui me taraude : Pourquoi le filament d'une ampoule s'échauffe et s'illumine (cela vaut bien sur pour le radiateur électrique avec sa résistance), mais ça veut dire quoi exactement ?
Dans mon tout petit raisonnement, j'imagine que filament de l'ampoule et résistance du radiateur, rendent plus difficile le passage du courant et du coup, ce ralentissement provoque l'échauffement et l'illumination ?
Ils ralentissent le courant mais en même temps, ils seraient conducteur du courant : vraiment difficile à comprendre, à moins qu'ils ne soient pas fait de cuivre et que ce soit un autre matériau ?
Cordialement.
Ce doit être un côté pratique pour le conducteur tressé finement : c'est vrai qu'on imagine mal déroulée une rallonge avec du fil rigide.
Par contre, j'avais une autre question : J'ai pris le pied à coulisse et j'ai mesuré les conducteurs en 1.5 mm² et en 2.5 mm², je pensais trouver des diamètres identiques correspondants à chaque section mais ce n'est pas le cas, je suppose que pour trouver une correspondance entre section et diamètre, il y a le calcul de l'aire du conducteur ?
Et pour finir, une seconde question qui me taraude : Pourquoi le filament d'une ampoule s'échauffe et s'illumine (cela vaut bien sur pour le radiateur électrique avec sa résistance), mais ça veut dire quoi exactement ?
Dans mon tout petit raisonnement, j'imagine que filament de l'ampoule et résistance du radiateur, rendent plus difficile le passage du courant et du coup, ce ralentissement provoque l'échauffement et l'illumination ?
Ils ralentissent le courant mais en même temps, ils seraient conducteur du courant : vraiment difficile à comprendre, à moins qu'ils ne soient pas fait de cuivre et que ce soit un autre matériau ?
Cordialement.
14 avril 2020 à 08:19

Bonjour.
Oui effectivement, l'utilité d'une gaine dans ce cas serait pour faciliter le remplacement mais bon, sur mon installation électrique existante (je parle de tous les nombreux circuits) il n'y a jamais eu à ce jour le cas d'un conducteur à remplacer et je me demande bien comment on pourrait le faire car il y a des gaines qui partent des combles et distribuent je ne sais combien de circuit et ces mêmes gaines arrivent en bas de l'habitation en passant par le premier étage : comme j'ai des plafonds de 2.80 m, j'ai pas loin de 6 m en perpendiculaire pour arriver au compteur et bien plus si on compte le métrage des pièces le plus éloignées du compteur.
Là au moins avec ce que je souhaite faire avec la goulotte en bois, à aucun moment, il n'y aura un câble dont je ne saurais pas retrouver sa trace, du tableau divisionnaire jusqu’au radiateur.
Et à aucun moment le câble ne sera encastré, d’où une possibilité à tout instant d'intervenir s'il y avait le besoin de remplacer le câble.
A ce sujet du câble et de la façon dont il est réalisé, une question : Le câble rigide donne t-il plus de sécurité quant à un sectionnement de son âme, ou bien le câble tressé finement est-il moins susceptible de se rompre ?
Si les 2 modèles existent, il doit bien y avoir une raison : laquelle ?
Cordialement.
Oui effectivement, l'utilité d'une gaine dans ce cas serait pour faciliter le remplacement mais bon, sur mon installation électrique existante (je parle de tous les nombreux circuits) il n'y a jamais eu à ce jour le cas d'un conducteur à remplacer et je me demande bien comment on pourrait le faire car il y a des gaines qui partent des combles et distribuent je ne sais combien de circuit et ces mêmes gaines arrivent en bas de l'habitation en passant par le premier étage : comme j'ai des plafonds de 2.80 m, j'ai pas loin de 6 m en perpendiculaire pour arriver au compteur et bien plus si on compte le métrage des pièces le plus éloignées du compteur.
Là au moins avec ce que je souhaite faire avec la goulotte en bois, à aucun moment, il n'y aura un câble dont je ne saurais pas retrouver sa trace, du tableau divisionnaire jusqu’au radiateur.
Et à aucun moment le câble ne sera encastré, d’où une possibilité à tout instant d'intervenir s'il y avait le besoin de remplacer le câble.
A ce sujet du câble et de la façon dont il est réalisé, une question : Le câble rigide donne t-il plus de sécurité quant à un sectionnement de son âme, ou bien le câble tressé finement est-il moins susceptible de se rompre ?
Si les 2 modèles existent, il doit bien y avoir une raison : laquelle ?
Cordialement.
13 avril 2020 à 07:49

Bonjour,
Oui je confirme que la goulotte ne recevra que des câbles et que la fermeture de la goulotte sera démontable (vis à bois).
C'est seulement lorsque les câbles vont sortir de la goulotte que je dois trouver une solution pour assurer la liaison entre goulotte et gaine ICTA dans le cas d'une contre cloison puisque j'aurais un espace. Et pour les pièces qui n'ont pas de contre cloison : dans un mur de cloison de séparation par exemple, là, le câble sorti de la goulotte sera introduit dans de la moulure.
Jusqu’à maintenant, je ne vois pas de problème particulier car, au départ du tableau principal, les câbles vont dans une goulotte, ensuite, à la sortie, soit ils vont dans une gaine ICTA, soit ils vont dans une moulure, et au bout, j'aurai à fixer les boîtiers de connexions : ils seront encastrés pour les contre cloisons et seront en apparent pour les moulures.
Le seul bémol : c'est que pour atteindre le premier étage, je dois percer le plafond et là je ne vois pas très bien si je protège mes câbles dans une gaine ICTA qui représentera l'épaisseur du plafond, à mon avis c'est ce qu'il faut faire sinon le câble est directement introduit à travers le plafond.
Cordialement.
Oui je confirme que la goulotte ne recevra que des câbles et que la fermeture de la goulotte sera démontable (vis à bois).
C'est seulement lorsque les câbles vont sortir de la goulotte que je dois trouver une solution pour assurer la liaison entre goulotte et gaine ICTA dans le cas d'une contre cloison puisque j'aurais un espace. Et pour les pièces qui n'ont pas de contre cloison : dans un mur de cloison de séparation par exemple, là, le câble sorti de la goulotte sera introduit dans de la moulure.
Jusqu’à maintenant, je ne vois pas de problème particulier car, au départ du tableau principal, les câbles vont dans une goulotte, ensuite, à la sortie, soit ils vont dans une gaine ICTA, soit ils vont dans une moulure, et au bout, j'aurai à fixer les boîtiers de connexions : ils seront encastrés pour les contre cloisons et seront en apparent pour les moulures.
Le seul bémol : c'est que pour atteindre le premier étage, je dois percer le plafond et là je ne vois pas très bien si je protège mes câbles dans une gaine ICTA qui représentera l'épaisseur du plafond, à mon avis c'est ce qu'il faut faire sinon le câble est directement introduit à travers le plafond.
Cordialement.
12 avril 2020 à 07:29

Bonjour.
Merci de l'information.
Toutefois, il me semble que lorsque j’envoie une réponse, il y a un message en haut de l'écran qui stipule que le message a bien été envoyé et je vérifie à chaque envoi.
Maintenant, compte tenu que, parfois, je compose mes messages dans une durée assez longue, il est fort possible que mon compte se déconnecte "automatiquement" (c'est ce qui arrive par exemple avec un compte bancaire, s'il n'y a aucune saisie après x secondes, le compte se déconnecte).
Mais bon, j'ai appris quelque chose avec votre réponse, c'est qu'étant déconnecté de mon compte, mes messages sont envoyés dans les spams.
Encore merci d'avoir retrouvé celui-ci qui s'était égaré.
Cordialement.
Merci de l'information.
Toutefois, il me semble que lorsque j’envoie une réponse, il y a un message en haut de l'écran qui stipule que le message a bien été envoyé et je vérifie à chaque envoi.
Maintenant, compte tenu que, parfois, je compose mes messages dans une durée assez longue, il est fort possible que mon compte se déconnecte "automatiquement" (c'est ce qui arrive par exemple avec un compte bancaire, s'il n'y a aucune saisie après x secondes, le compte se déconnecte).
Mais bon, j'ai appris quelque chose avec votre réponse, c'est qu'étant déconnecté de mon compte, mes messages sont envoyés dans les spams.
Encore merci d'avoir retrouvé celui-ci qui s'était égaré.
Cordialement.
11 avril 2020 à 08:16

Bonjour.
Et donc, si je comprends bien, j'ai l'impression que ma réponse a été supprimée, j'ai dû toucher la corde sensible de la notion de prix. En faisant le rapprochement d'un plastique blanc appelé goulotte dans mon post.
Bon, la prochaine fois, je m'en tiendrais à mes questions, mais là, pour le coup, ce n'est pas moi qui ai engagé le débat sur les prix, je n'ai fait que répondre à l'intervenant.
Merci quand même pour vos réponses qui vont m’être utiles.
Cordialement.
Et donc, si je comprends bien, j'ai l'impression que ma réponse a été supprimée, j'ai dû toucher la corde sensible de la notion de prix. En faisant le rapprochement d'un plastique blanc appelé goulotte dans mon post.
Bon, la prochaine fois, je m'en tiendrais à mes questions, mais là, pour le coup, ce n'est pas moi qui ai engagé le débat sur les prix, je n'ai fait que répondre à l'intervenant.
Merci quand même pour vos réponses qui vont m’être utiles.
Cordialement.
10 avril 2020 à 08:09

Bonjour,
Merci de vos suggestions.
Pour compléter, l'usage sera destiné uniquement pour le passage de 10 câbles 4G (8 pour circuit chauffage électrique et deux pour circuit de prises) et ce sera démontable à tout instant.
La facilité voudrait que la goulotte en PVC l'emporte mais son coût est trop onéreux pour un banal morceau du plastique car comme l'installation sera en rénovation sans encastrement (mur en moellon épais de 50 cm), le métrage en goulotte avoisine au minimum 15 à 20 ML.
Le bois, quant à lui, en terme de prix sera abordable et si on ne compte pas son temps, le rendu et l'aspect seront supérieurs au plastique.
Avant l'ère du plastique, je suppose qu'on devait utiliser le bois ou bien un autre matériau adapté à la situation.
Cordialement.
Merci de vos suggestions.
Pour compléter, l'usage sera destiné uniquement pour le passage de 10 câbles 4G (8 pour circuit chauffage électrique et deux pour circuit de prises) et ce sera démontable à tout instant.
La facilité voudrait que la goulotte en PVC l'emporte mais son coût est trop onéreux pour un banal morceau du plastique car comme l'installation sera en rénovation sans encastrement (mur en moellon épais de 50 cm), le métrage en goulotte avoisine au minimum 15 à 20 ML.
Le bois, quant à lui, en terme de prix sera abordable et si on ne compte pas son temps, le rendu et l'aspect seront supérieurs au plastique.
Avant l'ère du plastique, je suppose qu'on devait utiliser le bois ou bien un autre matériau adapté à la situation.
Cordialement.
06 avril 2020 à 07:58

Bonjour.
Au vu des tarifs des goulottes en plastique, on avoisine du 7 euros le mètre linéaire.
C'est trop onéreux et j'ai fait un plan pour une goulotte en bois.
A-t-on le droit de la concevoir ?
L'utilisation du bois serait conforme en terme d'isolant.
Sinon, pourrait-on faire une goulotte avec des montants ou des rails que l'on utilise pour des contre cloisons, là, les câbles seraient placés dans le profilé en U des rails et montant et ils seraient fermés à l'aide d'un enrobage sous forme d'adhésif.
Ci-joint mon petit schéma de la goulotte en bois :
Cordialement.
Pour agrandir l'image, cliquez dessus.

Au vu des tarifs des goulottes en plastique, on avoisine du 7 euros le mètre linéaire.
C'est trop onéreux et j'ai fait un plan pour une goulotte en bois.
A-t-on le droit de la concevoir ?
L'utilisation du bois serait conforme en terme d'isolant.
Sinon, pourrait-on faire une goulotte avec des montants ou des rails que l'on utilise pour des contre cloisons, là, les câbles seraient placés dans le profilé en U des rails et montant et ils seraient fermés à l'aide d'un enrobage sous forme d'adhésif.
Ci-joint mon petit schéma de la goulotte en bois :
Cordialement.
Pour agrandir l'image, cliquez dessus.

05 avril 2020 à 12:20

Bonjour,
Merci pour vos éclairages, qui toutefois, ne me donnent pas l'étincelle de compréhension. Je vais donc relire vos messages et si je ne comprends pas mieux, je reviendrais à ce sujet plus tard.
1/ là où j'ai vraiment une difficulté à cerner : c'est toujours le DJ protecteur du divisionnaire car vous dites :
Mais dans un cadre normal, si tout le divisionnaire a un besoin défini une fois pour toute (exemple de mon chauffage électrique pour un besoin de 10.5kW), je ne vois toujours pas quel sera le rôle du DJ 50A fixé sur le rail du tableau principal en terme de surcharge car si 50A autorise un passage de courant de 11.5kW, ce chiffre ne pourra jamais être atteint par le chauffage électrique.
Par contre, je suis d'accord pour le rôle qui est d'interrompre le courant en cas de court-circuit : là, je suis OK.
Bref, si je veux m'en sortir de ce débat d'idée, alors, je modifierai mon installation en ajoutant 1000 watts de chauffage électrique, ce qui me donnera un besoin théorique de 11.5 kW et là je serais en phase avec le DJ de protection (par exemple : j'ai 2 petites pièces qui demandent, selon une formule de calcul watt/volume, un besoin de 900 watts, que j'ai arrondi pour l'achat d'un radiateur 1000 watts, eh bien, dans ce cas là, j’opterai pour un dimensionnement supérieur du radiateur en 1500 watts).
En réalité, vous avez raison dans le sens où il faut toujours penser en évolutif, y compris dans du chauffage électrique, on peut très bien faire une erreur dans l’estimation du besoin en watt dans les pièces de l'habitation : je me base sur des formules associant des watts par mètre cube, mais bon, ce ne sont que des estimations et seul les résultats factuels feront foi après usage.
2/ au sujet du délesteur, OK, je verrai à l'usage si le besoin est indispensable et comme vous dites :
Hormis la salle d'eau, qui a un besoin impératif de température pour éviter le gel éventuel des canalisations, les autres pièces du haut n'ont pas ce besoin, et donc cette marge de manœuvre me permettra d'ajuster et de quantifier mon besoin. Je me base aussi sur le retour d'expérience du voisinage mais ce ne sont que des informations.
3/ au sujet de la fixation sur le DJ et sous le DJ, j'ai vérifié et j'ai une installation de type d clic XP ( e ne précise pas la marque mais elle est très connue) donc là, je n'aurais pas de problème pour le 10mm².
J'ai une autre question : j'ai vu qu'avec le pose du Linky, on pouvait accéder à une application (e-quilibre) qui permet de visualiser les consommations par mode d'utilisation (on peut voir les consos en éclairage, en eau chauffe via ballon électrique, en conso électroménager, etc...). Est-ce vrai ?
Si oui : comment est-ce possible de distinguer telle ou telle utilisation ?
Pour un chauffe eau électrique, je peux comprendre dans le sens où on peut repérer son utilisation avec les plages horaires nocturnes.
Mais pour distinguer le reste, c'est étonnant, c'est lié à quoi : a des fréquences ?
En clair, si c'est le Linky est capable de distinguer telle ou telle utilisation et par conséquent telle ou telle consommation, on pourrait aisément connaitre les pics et gérer au mieux une installation tout électrique.
Merci de vos réponses. Cordialement.
Merci pour vos éclairages, qui toutefois, ne me donnent pas l'étincelle de compréhension. Je vais donc relire vos messages et si je ne comprends pas mieux, je reviendrais à ce sujet plus tard.
1/ là où j'ai vraiment une difficulté à cerner : c'est toujours le DJ protecteur du divisionnaire car vous dites :
Citation :Je peux comprendre que cela servira si c'est un jour évolutif dans le divisionnaire, comme vous dites, dans un garage ou à proximité, on peut être amené un jour à construire un abri, installer une dépendance qui susciteront un besoin électrique.
En gros rien d'interdit de surdimensionner. On fait même cela tout le temps.
Mais dans un cadre normal, si tout le divisionnaire a un besoin défini une fois pour toute (exemple de mon chauffage électrique pour un besoin de 10.5kW), je ne vois toujours pas quel sera le rôle du DJ 50A fixé sur le rail du tableau principal en terme de surcharge car si 50A autorise un passage de courant de 11.5kW, ce chiffre ne pourra jamais être atteint par le chauffage électrique.
Par contre, je suis d'accord pour le rôle qui est d'interrompre le courant en cas de court-circuit : là, je suis OK.
Bref, si je veux m'en sortir de ce débat d'idée, alors, je modifierai mon installation en ajoutant 1000 watts de chauffage électrique, ce qui me donnera un besoin théorique de 11.5 kW et là je serais en phase avec le DJ de protection (par exemple : j'ai 2 petites pièces qui demandent, selon une formule de calcul watt/volume, un besoin de 900 watts, que j'ai arrondi pour l'achat d'un radiateur 1000 watts, eh bien, dans ce cas là, j’opterai pour un dimensionnement supérieur du radiateur en 1500 watts).
En réalité, vous avez raison dans le sens où il faut toujours penser en évolutif, y compris dans du chauffage électrique, on peut très bien faire une erreur dans l’estimation du besoin en watt dans les pièces de l'habitation : je me base sur des formules associant des watts par mètre cube, mais bon, ce ne sont que des estimations et seul les résultats factuels feront foi après usage.
2/ au sujet du délesteur, OK, je verrai à l'usage si le besoin est indispensable et comme vous dites :
Citation :C'est effectivement ce que j'ai prévu de faire pour la première année en tout électrique. La configuration de mon installation me sera favorable quant à la gestion du chauffage dans la mesure, ou en définitive, je n'aurais besoin de confort que dans le bas de l'habitation, le haut étant inoccupé.
je gérais la 1ère journée "à la main"
Hormis la salle d'eau, qui a un besoin impératif de température pour éviter le gel éventuel des canalisations, les autres pièces du haut n'ont pas ce besoin, et donc cette marge de manœuvre me permettra d'ajuster et de quantifier mon besoin. Je me base aussi sur le retour d'expérience du voisinage mais ce ne sont que des informations.
3/ au sujet de la fixation sur le DJ et sous le DJ, j'ai vérifié et j'ai une installation de type d clic XP ( e ne précise pas la marque mais elle est très connue) donc là, je n'aurais pas de problème pour le 10mm².
J'ai une autre question : j'ai vu qu'avec le pose du Linky, on pouvait accéder à une application (e-quilibre) qui permet de visualiser les consommations par mode d'utilisation (on peut voir les consos en éclairage, en eau chauffe via ballon électrique, en conso électroménager, etc...). Est-ce vrai ?
Si oui : comment est-ce possible de distinguer telle ou telle utilisation ?
Pour un chauffe eau électrique, je peux comprendre dans le sens où on peut repérer son utilisation avec les plages horaires nocturnes.
Mais pour distinguer le reste, c'est étonnant, c'est lié à quoi : a des fréquences ?
En clair, si c'est le Linky est capable de distinguer telle ou telle utilisation et par conséquent telle ou telle consommation, on pourrait aisément connaitre les pics et gérer au mieux une installation tout électrique.
Merci de vos réponses. Cordialement.
29 mars 2020 à 09:37

Bonjour, merci pour vos suggestions.
Je reviens un instant sur une question se rapportant au DJ qui va protéger le tableau divisionnaire :
Si je m'en tiens à la règle de l'amont et que j'ai une installation de chauffage électrique totalisant une consommation maxi en même temps (le tout ou rien) de 10.5kW, vous m'avez indiqué que le DJ32A sautera dès le franchissement des 32 ampères, soit en watts : 230 x 32 = 7360 watts. Là OK, c'est une évidence mais si j'opte pour un DJ de 40A, j'aurais aussi le même problème puisque cela autorise 9200 watts et mon chauffage électrique en mode TOUT est toujours de 10.5kW.
Mais alors, si je passe à un DJ de 50A, il est surdimensionné car il autorise 11500 watts, ce qui est une impossibilité.
Donc, en clair, si j'ai bien compris votre précédent message sur le DJ, il faut que je m'approche le plus près de ma consommation en chauffage électrique tout en étant en dessous : le DJ 40A serait la bonne option avec le risque qu'il saute lorsque tous les radiateurs se mettent en route (10.5 kW en même temps).
Mais alors, dans ce cas, quel rôle pratique pour un délesteur car s'il déclenche au seuil de l'abonnement (avant le Linky comme vous me l'avez indiqué) ce sera pour un 9kVA aux alentours de 10.4 kW ET 13.8 kW pour un abonnement à 12 kVA.
En clair, ce que je veux exprimer là, c'est qu'à mon sens, le délesteur agira au regard de l'ensemble de la consommation totale de l'habitation ; mais qu'il ne peut, éviter la coupure du DJ de protection du tableau divisionnaire qui lui est entièrement dédié au chauffage électrique.
J'espère avoir compris.
2/ Quand vous dites :
3/ Une question pratique : pour relier le DJ de protection, qui sera fixé sur le rail du principal, la capacité à recevoir la section du câble d'alimentation (que ce soit du 10mm² ou du 16mm²) est-elle vraiment prévue à cet effet, car à première vue, on n'a pas l'impression qu'il y a autant de place dans le DJ, étant donné qu'habituellement, il est peignable et que le volume qu'occupe la section d'un peigne est peu encombrante.
Est-ce qu'on relie le câble d'alimentation directement sur le DJ ou faut-il enfoncer un embout particulier ?
A moins qu'il existe des câbles particuliers prévus à cet effet.
Merci pour vos réponses.
Cordialement.
Je reviens un instant sur une question se rapportant au DJ qui va protéger le tableau divisionnaire :
Si je m'en tiens à la règle de l'amont et que j'ai une installation de chauffage électrique totalisant une consommation maxi en même temps (le tout ou rien) de 10.5kW, vous m'avez indiqué que le DJ32A sautera dès le franchissement des 32 ampères, soit en watts : 230 x 32 = 7360 watts. Là OK, c'est une évidence mais si j'opte pour un DJ de 40A, j'aurais aussi le même problème puisque cela autorise 9200 watts et mon chauffage électrique en mode TOUT est toujours de 10.5kW.
Mais alors, si je passe à un DJ de 50A, il est surdimensionné car il autorise 11500 watts, ce qui est une impossibilité.
Donc, en clair, si j'ai bien compris votre précédent message sur le DJ, il faut que je m'approche le plus près de ma consommation en chauffage électrique tout en étant en dessous : le DJ 40A serait la bonne option avec le risque qu'il saute lorsque tous les radiateurs se mettent en route (10.5 kW en même temps).
Mais alors, dans ce cas, quel rôle pratique pour un délesteur car s'il déclenche au seuil de l'abonnement (avant le Linky comme vous me l'avez indiqué) ce sera pour un 9kVA aux alentours de 10.4 kW ET 13.8 kW pour un abonnement à 12 kVA.
En clair, ce que je veux exprimer là, c'est qu'à mon sens, le délesteur agira au regard de l'ensemble de la consommation totale de l'habitation ; mais qu'il ne peut, éviter la coupure du DJ de protection du tableau divisionnaire qui lui est entièrement dédié au chauffage électrique.
J'espère avoir compris.
2/ Quand vous dites :
Citation :C'est effectivement ce que j'ai toujours pensé et c'est aussi le retour d'expérience d'autres habitations et pour certaines d’entre elles, sans délesteur. En fait, cela revient à ce que j’évoquai précédemment dans la recherche de systèmes sophistiqués pour justement, éviter le mode TOUT en même temps : pour conclure, je verrais à l'usage et si j'arrive à améliorer le système, j'en ferais part.
En général cela déleste la 1ère journée quand on met tout en route en même temps.
Puis une fois que la maison est chaude, cela ne déleste plus.
3/ Une question pratique : pour relier le DJ de protection, qui sera fixé sur le rail du principal, la capacité à recevoir la section du câble d'alimentation (que ce soit du 10mm² ou du 16mm²) est-elle vraiment prévue à cet effet, car à première vue, on n'a pas l'impression qu'il y a autant de place dans le DJ, étant donné qu'habituellement, il est peignable et que le volume qu'occupe la section d'un peigne est peu encombrante.
Est-ce qu'on relie le câble d'alimentation directement sur le DJ ou faut-il enfoncer un embout particulier ?
A moins qu'il existe des câbles particuliers prévus à cet effet.
Merci pour vos réponses.
Cordialement.
28 mars 2020 à 08:46

Bonjour.
Je prends note de toutes les infos pour un chauffage en salle de bain : effectivement , il y a des solutions.
comme vous le dites, il faut impérativement une SDB bien isolée au même titre qu'une pièce standard, sinon l'abaissement en mode éco sera souvent sollicité.
J'avais aussi pensé qu'un abaissement brutal, demanderait une quantité d'énergie pour remonter la température.
Après, tout est question de confort en SDB, quand on est jeune, ce n'est pas bien grave, je me souviens a l'époque, avant l'achat de la maison, que quand nous étions en location dans un petit village, la SDB n'avait pas de chauffage fixe, ni d'appoint, et le tout sans isolation, ce qui permettait de voir de temps en temps, les cristaux de glace former une toile d'araignée sur les carreaux de la fenêtre.
Situation que beaucoup ont du connaitre. Et que dire au sujet des WC, qui étaient à l'époque en externe.
Sur votre réponse au sujet du Linky, j'en prends note également même si j'ai toujours le petit doute concernant l'utilité ou pas d'un délesteur, dans la mesure ou je suis enclin a penser que le Linky coupera avant le délesteur.
Mais bon, vous avez une expérience qui indique que le délesteur assure sa fonction et je verrais bien si j'opte pour cette solution.
En fait, toutes ces solutions possibles relatives a la gestion de l'énergie sont bonnes mais elles sont confrontées à l'obstacle majeur que représente la modalité du chauffage électrique : car sa particularité, c'est comme vous me l'avez indiqué : c'est le tout ou rien.
Et toutes les solutions sont conditionnées par ce fonctionnement.
Dans l'idéal, mais bon ce n'est pas le sujet, il faudrait imaginer un système qui soit capable d'identifier les radiateurs qui sont en mode TOUT en même temps et avec la possibilité de choisir de couper momentanément tel ou tel, en clair, obtenir une interaction entre tous les radiateurs, sans passer par du délestage tel qu'il existe actuellement puisque ses solutions n'offrent pas un nombre suffisant de zone alors que l'idéal serait d'avoir une zone pour chaque radiateur.
Dans cet idéal, il faudrait pouvoir connaitre (il me semble que cela existe) les consommations pour les autres modes de consommation (combien en éclairage, en prises, en électroménager, fours divers, en chauffe eau, etc...) et comme cela fonctionne aussi en mode tout ou rien, connaitre si, possible les pics de consommation maxi, ce qui permettrait alors de pouvoir quantifier le solde disponible en watt pour le chauffage électrique et partant de là, de dispatcher au mieux les consommations envisagées pour tel ou tel radiateur.
C'est probablement utopique mais bon, on a toujours le droit de rêver.
Mais bon, le préalable, c'est avant toute chose l'isolation thermique, sans oublier de tenir compte des conditions climatiques locales.
Il est vrai que si j'habite en PACA, l'abonnement en 9KVA sera largement suffisant au regard des relevés de températures.
Merci à nouveau de toutes vos réponses.
Cordialement.
Je prends note de toutes les infos pour un chauffage en salle de bain : effectivement , il y a des solutions.
comme vous le dites, il faut impérativement une SDB bien isolée au même titre qu'une pièce standard, sinon l'abaissement en mode éco sera souvent sollicité.
J'avais aussi pensé qu'un abaissement brutal, demanderait une quantité d'énergie pour remonter la température.
Après, tout est question de confort en SDB, quand on est jeune, ce n'est pas bien grave, je me souviens a l'époque, avant l'achat de la maison, que quand nous étions en location dans un petit village, la SDB n'avait pas de chauffage fixe, ni d'appoint, et le tout sans isolation, ce qui permettait de voir de temps en temps, les cristaux de glace former une toile d'araignée sur les carreaux de la fenêtre.
Situation que beaucoup ont du connaitre. Et que dire au sujet des WC, qui étaient à l'époque en externe.
Sur votre réponse au sujet du Linky, j'en prends note également même si j'ai toujours le petit doute concernant l'utilité ou pas d'un délesteur, dans la mesure ou je suis enclin a penser que le Linky coupera avant le délesteur.
Mais bon, vous avez une expérience qui indique que le délesteur assure sa fonction et je verrais bien si j'opte pour cette solution.
En fait, toutes ces solutions possibles relatives a la gestion de l'énergie sont bonnes mais elles sont confrontées à l'obstacle majeur que représente la modalité du chauffage électrique : car sa particularité, c'est comme vous me l'avez indiqué : c'est le tout ou rien.
Et toutes les solutions sont conditionnées par ce fonctionnement.
Dans l'idéal, mais bon ce n'est pas le sujet, il faudrait imaginer un système qui soit capable d'identifier les radiateurs qui sont en mode TOUT en même temps et avec la possibilité de choisir de couper momentanément tel ou tel, en clair, obtenir une interaction entre tous les radiateurs, sans passer par du délestage tel qu'il existe actuellement puisque ses solutions n'offrent pas un nombre suffisant de zone alors que l'idéal serait d'avoir une zone pour chaque radiateur.
Dans cet idéal, il faudrait pouvoir connaitre (il me semble que cela existe) les consommations pour les autres modes de consommation (combien en éclairage, en prises, en électroménager, fours divers, en chauffe eau, etc...) et comme cela fonctionne aussi en mode tout ou rien, connaitre si, possible les pics de consommation maxi, ce qui permettrait alors de pouvoir quantifier le solde disponible en watt pour le chauffage électrique et partant de là, de dispatcher au mieux les consommations envisagées pour tel ou tel radiateur.
C'est probablement utopique mais bon, on a toujours le droit de rêver.
Mais bon, le préalable, c'est avant toute chose l'isolation thermique, sans oublier de tenir compte des conditions climatiques locales.
Il est vrai que si j'habite en PACA, l'abonnement en 9KVA sera largement suffisant au regard des relevés de températures.
Merci à nouveau de toutes vos réponses.
Cordialement.
27 mars 2020 à 08:26

Bonjour.
1 - A la lecture de vos réponses, je constate que mon installation telle qu'elle existe actuellement, est munie en amont d'un Linky qui coupera à hauteur de mon abonnement 9kVA et ceci uniquement en terme d'ampérage, soit un maxi autorisé de 45A.
Alors que dans le même temps, en aval j'ai un DB, réglé par défaut à 60A.
Ce qui voudrait dire que je n'ai pas intérêt à dépasser 45A (ou comme vous me l'avez indiqué, à ne pas dépasser la valeur de 10.4 kW correspondant au 9kVA), sinon, j'aurai le Linky qui coupera à chaque dépassement.
D’où l’intérêt de monter, si cela se produit à maintes reprises, à l'abonnement de 12kVA, qui lui, sera en adéquation avec le DB. D’où par conséquent, de modifier les câbles d'alimentation du DB au tableau principal actuellement en 10mm² pour une section de 16mm².
2 - Pour ce qui concerne les thermostats des radiateurs et l'utilisation d'un programmateur, j'avais déjà vu qu'on pouvait gérer en terme de zone, cela sera à l'étude après au moins un essai grandeur nature sur un hiver.
Dans la mesure où j'ai une habitation actuellement chauffée au fuel avec 9 radiateurs avec leur thermostat ouvert à fond tout l'hiver, et avec une température homogène, réglée par un thermostat d'ambiance mural, relié à la chaudière, j’ai évidemment une surconsommation car la moitié du volume de l'habitation (le premier étage est inoccupé) est chauffé au même titre que les pièces à vivre.
C'est là l’inconvénient d'un programmateur mono zone qui gère toutes les pièces sans distinction.
C'est la raison pour laquelle, compte tenu du taux d'occupation, je souhaite dans un premier temps, gérer au cas par cas, et ensuite si besoin, comme vous le dites, opter pour définir des zones via les fils pilotes.
Mais pour cela, tout dépendra de la performance de l'isolation thermique qui sera installée, car en l'état actuel, je chauffe au fuel, sans isolation (hormis les fenêtres double vitrage et les combles qui le sont).
3 - En dehors du pilotage par zone, j'ai une question concernant la salle de bain : C'est certainement l'endroit (avec les WC), ou on est le moins souvent présent.
Aussi, à supposer que le cumul en heures de présence en salle de bain, toutes personnes confondues, est de 2 heures par jour : n'y a t-il pas un moyen de faire en sorte qu'un radiateur ne se déclenche que 30 minutes avant, qu'il chauffe pendant 2 heures et qu'ensuite, ce radiateur soit au repos jusqu'au lendemain.
En clair, le but serait que le radiateur fonctionne en tout ou rien, au sens littéral, c'est à dire : En tout pendant 2h30 et en rien pendant 21h30, et ceci pour tous les jours de l'hiver.
Est-ce que cela est possible : soit avec un réglage manuel, soit avec le fil pilote relié au programmateur au titre d'une seule zone dédiée (mais là, il faudrait que d'une valeur confort, je puisse directement passer en mode hors gel) y a-t-il assez de souplesse, de commodités pour pouvoir le faire car s'il s'agit de faire un abaissement de -3°C, voire de -5°C, le radiateur déclenchera sitôt atteint le niveau de son abaissement et là, il chauffera la salle de bain certes avec une température plus basse que la température de confort, mais en clair, il chauffera de l'espace vide.
Quelle serait la solution pour avoir un système qui ne chauffe que s'il y a une présence, sans passer par l'achat des radiateurs qui détectent les mouvements, et qui sont onéreux.
Est-ce que le programmateur est capable de le faire, ou bien, s'agira t-il de faire tout en manuel et au pire d'aller mettre en chauffe le radiateur, tous les jours une demi heure avant d'y aller.
Cordialement.
1 - A la lecture de vos réponses, je constate que mon installation telle qu'elle existe actuellement, est munie en amont d'un Linky qui coupera à hauteur de mon abonnement 9kVA et ceci uniquement en terme d'ampérage, soit un maxi autorisé de 45A.
Alors que dans le même temps, en aval j'ai un DB, réglé par défaut à 60A.
Ce qui voudrait dire que je n'ai pas intérêt à dépasser 45A (ou comme vous me l'avez indiqué, à ne pas dépasser la valeur de 10.4 kW correspondant au 9kVA), sinon, j'aurai le Linky qui coupera à chaque dépassement.
D’où l’intérêt de monter, si cela se produit à maintes reprises, à l'abonnement de 12kVA, qui lui, sera en adéquation avec le DB. D’où par conséquent, de modifier les câbles d'alimentation du DB au tableau principal actuellement en 10mm² pour une section de 16mm².
2 - Pour ce qui concerne les thermostats des radiateurs et l'utilisation d'un programmateur, j'avais déjà vu qu'on pouvait gérer en terme de zone, cela sera à l'étude après au moins un essai grandeur nature sur un hiver.
Dans la mesure où j'ai une habitation actuellement chauffée au fuel avec 9 radiateurs avec leur thermostat ouvert à fond tout l'hiver, et avec une température homogène, réglée par un thermostat d'ambiance mural, relié à la chaudière, j’ai évidemment une surconsommation car la moitié du volume de l'habitation (le premier étage est inoccupé) est chauffé au même titre que les pièces à vivre.
C'est là l’inconvénient d'un programmateur mono zone qui gère toutes les pièces sans distinction.
C'est la raison pour laquelle, compte tenu du taux d'occupation, je souhaite dans un premier temps, gérer au cas par cas, et ensuite si besoin, comme vous le dites, opter pour définir des zones via les fils pilotes.
Mais pour cela, tout dépendra de la performance de l'isolation thermique qui sera installée, car en l'état actuel, je chauffe au fuel, sans isolation (hormis les fenêtres double vitrage et les combles qui le sont).
3 - En dehors du pilotage par zone, j'ai une question concernant la salle de bain : C'est certainement l'endroit (avec les WC), ou on est le moins souvent présent.
Aussi, à supposer que le cumul en heures de présence en salle de bain, toutes personnes confondues, est de 2 heures par jour : n'y a t-il pas un moyen de faire en sorte qu'un radiateur ne se déclenche que 30 minutes avant, qu'il chauffe pendant 2 heures et qu'ensuite, ce radiateur soit au repos jusqu'au lendemain.
En clair, le but serait que le radiateur fonctionne en tout ou rien, au sens littéral, c'est à dire : En tout pendant 2h30 et en rien pendant 21h30, et ceci pour tous les jours de l'hiver.
Est-ce que cela est possible : soit avec un réglage manuel, soit avec le fil pilote relié au programmateur au titre d'une seule zone dédiée (mais là, il faudrait que d'une valeur confort, je puisse directement passer en mode hors gel) y a-t-il assez de souplesse, de commodités pour pouvoir le faire car s'il s'agit de faire un abaissement de -3°C, voire de -5°C, le radiateur déclenchera sitôt atteint le niveau de son abaissement et là, il chauffera la salle de bain certes avec une température plus basse que la température de confort, mais en clair, il chauffera de l'espace vide.
Quelle serait la solution pour avoir un système qui ne chauffe que s'il y a une présence, sans passer par l'achat des radiateurs qui détectent les mouvements, et qui sont onéreux.
Est-ce que le programmateur est capable de le faire, ou bien, s'agira t-il de faire tout en manuel et au pire d'aller mettre en chauffe le radiateur, tous les jours une demi heure avant d'y aller.
Cordialement.
26 mars 2020 à 09:56

Bonjour.
J'ai pris note de votre explication pour la fonction du DB, mais je n'arrive pas à faire la comparaison avec le DJ 40A qui protègera le divisionnaire.
En effet dans le cas du DJ 40A protecteur du divisionnaire, il était question qu'il soit calibré au regard de l'ID 63A, mais dans ce que vous dites, le DB est dédié à la section du câble qui le relie au tableau principal.
C'est pas grave pour ma compréhension, j'en prends bonne note.
Cependant, il y a comme une non adéquation qui apparaît avec le calibrage du DB et le Linky : Si le DB est réglé (comme c'est le cas chez moi) sur 60A, on est d'accord pour dire que ce sera pour autoriser un passage de courant jusqu’à hauteur de 60A, et si, dans le même temps, mon abonnement est de 9kVA (9000W théorique mais 10.4kW en pratique) on a donc un passage de courant autorisé jusqu’à 45A et je suppose qu'arrivé à 45A, c'est le Linky qui saute.
On pourrait admettre que la règle de l'amont est respecté si on considérerait que le Linky agit comme un DJ, d’où ma question : comment est câblé le Linky : en amont ou en aval du DB ; et a t-il une propriété identique à un DJ.
Et troisième question : si l'adéquation entre abonnement (Linky) et réglage DB n'est pas respectée, ne vaut-il pas mieux de corriger et d'avoir pour l'exemple : un abonnement réglé à 12kVA (60A) avec un DB également réglé à 60A.
En définitive, quelle est la règle qui prévaut entre le DB, l'abonnement et le Linky en terme de passage autorisé de courant électrique.
Pour revenir sur les thermostats, finalement si j'ai bien compris, avec l'utilisation maximale des fils pilotes, je ne pourrais jouer que sur des abaissements et des remontées de température, préalablement standardisés dans les thermostats (quoique là, j'en sais rien du tout mais je suppose qu'un abaissement peut être corrigé par une remontée).
Exemple : si j'ai 19 degrés, l'abaissement préréglé sera de 3 degrés pour obtenir 16 degrés, ceci pour des fils pilote de 4 ordres, et pour 6 ordres, j'aurais un abaissement supplémentaire de 2 degrés.
Si c'est cela, l'utilisation des fils pilotes avec des préréglages en termes d'abaissement standardisés, c'est pas l'idéal. Tout dépend de l'installation et des pièces à vivre ou non.
L'idéal, ce serait d'avoir un système de gestion centralisé et qui permettrait de faire du cas par cas, pour chaque pièce munie d'un radiateur, en fonction de la présence ponctuelle ou non des résidents.
A priori, cela existe avec des box, et on peut même piloter chaque radiateur à distance : cela a un coût financier et on n'a aucune garantie de la pérennité du système dans le temps : imaginons que l'entreprise qui vend son système n'est plus en activité, d'où mon idée, dans un premier temps, de faire les réglages des radiateurs au cas par cas, en manuel donc pour chaque pièce et ensuite avec du recul, établir une corrélation entre les températures relevées et l'isolation thermique pour aboutir à un réglage plus précis, le tout dans les conditions hivernales classiques et habituellement constatées.
Enfin, pour conclure sur le sujet des radiateurs, une question : on voit ici ou là, des commentaires qui insistent sur le fait qu'il ne faut plus choisir des radiateurs grille pain ou comme il y a une époque des bains d'huile car ils seraient plus énergivores que les autres.
Mais dans un radiateur grille pain ou un autre, c'est toujours des watts et il me semble qu'il n'y a pas deux sortes de watt, si j'ai un grille pain de 1500 watts avec le meilleur des radiateurs actuels de 1500 watts, tous les deux consommeront pareils en vertu de la règle du tout ou rien, soit ils donnent chacun 1500 watts, soit c'est chacun zéro watt ; si ce n'est pas le cas, une explication est demandée.
Par contre, s'il s'agit de la diffusion de la chaleur et donc du confort correspondant, OK, je comprends que le radiateur grille pain est inadapté.
Mais dans une pièce qui sera inhabitée tout l'hiver, la notion de confort n'existe pas, seule compte une certaine température (quelle soit hors gel ou moyennement tempérée) et si de surcroit, cette pièce inhabitée est plus que bien isolée, je ne vois pas quelle sera l’inconvénient à avoir un grille pain.
Je force le trait car je ne sais pas si d'abord ces grille pains sont encore vendus, et en tout état de cause, je ne choisirais pas ce genre d'article, disons que j'opterais pour des radiateurs de moyenne gamme, pas plus.
Ma question de base : les watts d'un radiateur grille pain ou d'un bain d'huile sont-ils les mêmes watts qu'un radiateur haut de gamme, si oui : pourquoi dit-on qu'ils énergivorent ?
Merci de votre attention. Cordialement.
J'ai pris note de votre explication pour la fonction du DB, mais je n'arrive pas à faire la comparaison avec le DJ 40A qui protègera le divisionnaire.
En effet dans le cas du DJ 40A protecteur du divisionnaire, il était question qu'il soit calibré au regard de l'ID 63A, mais dans ce que vous dites, le DB est dédié à la section du câble qui le relie au tableau principal.
C'est pas grave pour ma compréhension, j'en prends bonne note.
Cependant, il y a comme une non adéquation qui apparaît avec le calibrage du DB et le Linky : Si le DB est réglé (comme c'est le cas chez moi) sur 60A, on est d'accord pour dire que ce sera pour autoriser un passage de courant jusqu’à hauteur de 60A, et si, dans le même temps, mon abonnement est de 9kVA (9000W théorique mais 10.4kW en pratique) on a donc un passage de courant autorisé jusqu’à 45A et je suppose qu'arrivé à 45A, c'est le Linky qui saute.
On pourrait admettre que la règle de l'amont est respecté si on considérerait que le Linky agit comme un DJ, d’où ma question : comment est câblé le Linky : en amont ou en aval du DB ; et a t-il une propriété identique à un DJ.
Et troisième question : si l'adéquation entre abonnement (Linky) et réglage DB n'est pas respectée, ne vaut-il pas mieux de corriger et d'avoir pour l'exemple : un abonnement réglé à 12kVA (60A) avec un DB également réglé à 60A.
En définitive, quelle est la règle qui prévaut entre le DB, l'abonnement et le Linky en terme de passage autorisé de courant électrique.
Pour revenir sur les thermostats, finalement si j'ai bien compris, avec l'utilisation maximale des fils pilotes, je ne pourrais jouer que sur des abaissements et des remontées de température, préalablement standardisés dans les thermostats (quoique là, j'en sais rien du tout mais je suppose qu'un abaissement peut être corrigé par une remontée).
Exemple : si j'ai 19 degrés, l'abaissement préréglé sera de 3 degrés pour obtenir 16 degrés, ceci pour des fils pilote de 4 ordres, et pour 6 ordres, j'aurais un abaissement supplémentaire de 2 degrés.
Si c'est cela, l'utilisation des fils pilotes avec des préréglages en termes d'abaissement standardisés, c'est pas l'idéal. Tout dépend de l'installation et des pièces à vivre ou non.
L'idéal, ce serait d'avoir un système de gestion centralisé et qui permettrait de faire du cas par cas, pour chaque pièce munie d'un radiateur, en fonction de la présence ponctuelle ou non des résidents.
A priori, cela existe avec des box, et on peut même piloter chaque radiateur à distance : cela a un coût financier et on n'a aucune garantie de la pérennité du système dans le temps : imaginons que l'entreprise qui vend son système n'est plus en activité, d'où mon idée, dans un premier temps, de faire les réglages des radiateurs au cas par cas, en manuel donc pour chaque pièce et ensuite avec du recul, établir une corrélation entre les températures relevées et l'isolation thermique pour aboutir à un réglage plus précis, le tout dans les conditions hivernales classiques et habituellement constatées.
Enfin, pour conclure sur le sujet des radiateurs, une question : on voit ici ou là, des commentaires qui insistent sur le fait qu'il ne faut plus choisir des radiateurs grille pain ou comme il y a une époque des bains d'huile car ils seraient plus énergivores que les autres.
Mais dans un radiateur grille pain ou un autre, c'est toujours des watts et il me semble qu'il n'y a pas deux sortes de watt, si j'ai un grille pain de 1500 watts avec le meilleur des radiateurs actuels de 1500 watts, tous les deux consommeront pareils en vertu de la règle du tout ou rien, soit ils donnent chacun 1500 watts, soit c'est chacun zéro watt ; si ce n'est pas le cas, une explication est demandée.
Par contre, s'il s'agit de la diffusion de la chaleur et donc du confort correspondant, OK, je comprends que le radiateur grille pain est inadapté.
Mais dans une pièce qui sera inhabitée tout l'hiver, la notion de confort n'existe pas, seule compte une certaine température (quelle soit hors gel ou moyennement tempérée) et si de surcroit, cette pièce inhabitée est plus que bien isolée, je ne vois pas quelle sera l’inconvénient à avoir un grille pain.
Je force le trait car je ne sais pas si d'abord ces grille pains sont encore vendus, et en tout état de cause, je ne choisirais pas ce genre d'article, disons que j'opterais pour des radiateurs de moyenne gamme, pas plus.
Ma question de base : les watts d'un radiateur grille pain ou d'un bain d'huile sont-ils les mêmes watts qu'un radiateur haut de gamme, si oui : pourquoi dit-on qu'ils énergivorent ?
Merci de votre attention. Cordialement.
25 mars 2020 à 09:53

Bonjour.
Merci pour vos explications.
Donc en clair, si j'opte pour du 5G en 2.5mm², un des 5 fils pourrait être dédié au fil pilote sans problème.
Sur le second point concernant la règle en amont, la signification voudrait dire que contrairement à ce que l'on croit habituellement, le sens du courant (si je compare à un courant fluvial) et donc de son intensité, va du tableau principal en direction du divisionnaire, et non l'inverse comme on le croit souvent.
Et si j'ai un DJ de 40A, il fera obstacle à toute puissance de courant supérieur à 40A (un peu comme un barrage qui retient une masse d'eau) qui serait provoqué par une demande accrue des radiateurs due par exemple à une forte diminution de température externe.
Mais alors, si on a toujours en amont un DJ qui protège un tableau divisionnaire, pourquoi n'y en a t-il pas pour le tableau principal, c'est étonnant car, dans une configuration normale, on a les alimentations du DB qui sont reliées aux borniers du tableau principal et ensuite, sans intermédiaire quelconque, on installe un ID suivi des circuits sur chaque rangée du tableau principal.
Pourquoi ce qui doit être fait sur un divisionnaire n'est pas fait sur un tableau principal.
Enfin, concernant les thermostats électronique : effectivement, on voit ici ou là, des solutions avec les 6 ordres qui proposent de gérer au demi-degré, voire encore plus précis au dixième de degré, le tout avec des applications mobile, via des box.
Bon, ce peut être bien de piloter à distance, mais toute cette technologie a un coût financier et il me semble qu'avant d'investir dans ce domaine, mieux vaut déjà avoir fait un investissement massif en isolation thermique.
Je prends note que la fragilité des thermostats n'est pas consécutive à leur manipulation hors fil pilote.
Cordialement.
Merci pour vos explications.
Donc en clair, si j'opte pour du 5G en 2.5mm², un des 5 fils pourrait être dédié au fil pilote sans problème.
Sur le second point concernant la règle en amont, la signification voudrait dire que contrairement à ce que l'on croit habituellement, le sens du courant (si je compare à un courant fluvial) et donc de son intensité, va du tableau principal en direction du divisionnaire, et non l'inverse comme on le croit souvent.
Et si j'ai un DJ de 40A, il fera obstacle à toute puissance de courant supérieur à 40A (un peu comme un barrage qui retient une masse d'eau) qui serait provoqué par une demande accrue des radiateurs due par exemple à une forte diminution de température externe.
Mais alors, si on a toujours en amont un DJ qui protège un tableau divisionnaire, pourquoi n'y en a t-il pas pour le tableau principal, c'est étonnant car, dans une configuration normale, on a les alimentations du DB qui sont reliées aux borniers du tableau principal et ensuite, sans intermédiaire quelconque, on installe un ID suivi des circuits sur chaque rangée du tableau principal.
Pourquoi ce qui doit être fait sur un divisionnaire n'est pas fait sur un tableau principal.
Enfin, concernant les thermostats électronique : effectivement, on voit ici ou là, des solutions avec les 6 ordres qui proposent de gérer au demi-degré, voire encore plus précis au dixième de degré, le tout avec des applications mobile, via des box.
Bon, ce peut être bien de piloter à distance, mais toute cette technologie a un coût financier et il me semble qu'avant d'investir dans ce domaine, mieux vaut déjà avoir fait un investissement massif en isolation thermique.
Je prends note que la fragilité des thermostats n'est pas consécutive à leur manipulation hors fil pilote.
Cordialement.
24 mars 2020 à 05:31

Bonjour.
Au sujet du câble 5G, a priori, il y a 5 fils de même section, est-ce que cela ne pose pas de problème pour le fil pilote car on voit ici ou là, que la section du fil pilote doit être de 1.5 mm² et donc si j'opte pour du 5G en 2.5 mm² plutôt que du 5G en 1.5mm², je n'aurais pas de fil pilote en 1.5mm² : qu'en est -il si j'ai un fil pilote qui sera en 2.5 mm².
Et seconde question : ce câble 5G : comment est-il présenté : en fil rigide ou en fil tressé, et quel est le bon choix pour les radiateurs car j'ai vu que l'usage habituel est réservé pour les machines d'atelier.
Autre question qui me revient suite à une réponse de votre part concernant la protection du divisionnaire : vous m'avez indiqué que le choix d'un DJ 32A n'était pas calibré au regard de mon chauffage électrique et qu'il serait plus juste d'avoir au minimum un DJ de 40A : là dessus, pas de problème, mais est-ce que ce DJ 40A est adapté pour l'ID 63A du tableau divisionnaire sur lequel sera peigné mes 8 lignes de radiateurs électriques.
En fait, c'est pour cette question que pour l'instant, je suis dans l'optique d'avoir un tableau divisionnaire avec 2 rangées et pour chaque rangée, un ID 40A : dans mon raisonnement, je me dis que le DJ 40A est adapté à mes ID 40A puisqu'ils présentent la même puissance de 40 ampères.
Ma question : Quelle est l'explication technique qui fait qu'un DJ 40A est adéquat pour protéger l' ID 63A du tableau divisionnaire ?
Enfin, une autre question qui se rapporte à l'utilisation ultérieure des fils pilotes, car vous dites que par la suite, je pourrais améliorer mon installation, soit avec la fonction délestage, soit avec de la programmation centralisée. Ce sujet a déjà été développé dans un post et j'ai conservé les réponses. Mais là où je veux en venir, c'est dans un premier temps, une installation toute simple, sans délesteur, sans gestionnaire d'énergie et donc sans le recours au fil pilote : Mais du coup, je dois penser à faire le bon choix dans le type de radiateur électrique.
Ma question : faut -il que j'achète des radiateurs à 6 ordres ou 4 pour une utilisation banale : à savoir faire une programmation individuelle pour chaque radiateur de chaque pièce. En clair, je programme sur chaque thermostat embarqué, une température de tant de degrés selon l'usage : confort ou hors gel si pièce inoccupée, et si oui, qu'en est-il de la fragilité de ces thermostats si on les ajuste manuellement pour obtenir la température souhaitée.
Car je n'ai pas envie d'acheter du matériel qui sera efficace ultérieurement avec l'usage des fils pilotes, et qui dans une utilisation banale provoquerait une détérioration électronique, car il y a une certaine époque, les radiateurs n'étaient pas munis de cette électronique et les thermostats avaient quand même une robustesse avérée.
Ma question : Quelle est l'explication au fait que l'on insiste sur la fragilité des thermostats électroniques : d’où vient ce défaut et comment y remédier.
Car si j'achète des radiateurs trop bien conçus électroniquement parlant, avec le risque évoqué, autant alors que j’achète des radiateurs tout simples et peu onéreux dans un premier temps, avec ajustement de la température au cas par cas, et qu'ensuite lors de l'usage des fils pilotes, j'achète des radiateurs plus sophistiqués.
Merci d'avance pour vos explications.
Cordialement.
Au sujet du câble 5G, a priori, il y a 5 fils de même section, est-ce que cela ne pose pas de problème pour le fil pilote car on voit ici ou là, que la section du fil pilote doit être de 1.5 mm² et donc si j'opte pour du 5G en 2.5 mm² plutôt que du 5G en 1.5mm², je n'aurais pas de fil pilote en 1.5mm² : qu'en est -il si j'ai un fil pilote qui sera en 2.5 mm².
Et seconde question : ce câble 5G : comment est-il présenté : en fil rigide ou en fil tressé, et quel est le bon choix pour les radiateurs car j'ai vu que l'usage habituel est réservé pour les machines d'atelier.
Autre question qui me revient suite à une réponse de votre part concernant la protection du divisionnaire : vous m'avez indiqué que le choix d'un DJ 32A n'était pas calibré au regard de mon chauffage électrique et qu'il serait plus juste d'avoir au minimum un DJ de 40A : là dessus, pas de problème, mais est-ce que ce DJ 40A est adapté pour l'ID 63A du tableau divisionnaire sur lequel sera peigné mes 8 lignes de radiateurs électriques.
En fait, c'est pour cette question que pour l'instant, je suis dans l'optique d'avoir un tableau divisionnaire avec 2 rangées et pour chaque rangée, un ID 40A : dans mon raisonnement, je me dis que le DJ 40A est adapté à mes ID 40A puisqu'ils présentent la même puissance de 40 ampères.
Ma question : Quelle est l'explication technique qui fait qu'un DJ 40A est adéquat pour protéger l' ID 63A du tableau divisionnaire ?
Enfin, une autre question qui se rapporte à l'utilisation ultérieure des fils pilotes, car vous dites que par la suite, je pourrais améliorer mon installation, soit avec la fonction délestage, soit avec de la programmation centralisée. Ce sujet a déjà été développé dans un post et j'ai conservé les réponses. Mais là où je veux en venir, c'est dans un premier temps, une installation toute simple, sans délesteur, sans gestionnaire d'énergie et donc sans le recours au fil pilote : Mais du coup, je dois penser à faire le bon choix dans le type de radiateur électrique.
Ma question : faut -il que j'achète des radiateurs à 6 ordres ou 4 pour une utilisation banale : à savoir faire une programmation individuelle pour chaque radiateur de chaque pièce. En clair, je programme sur chaque thermostat embarqué, une température de tant de degrés selon l'usage : confort ou hors gel si pièce inoccupée, et si oui, qu'en est-il de la fragilité de ces thermostats si on les ajuste manuellement pour obtenir la température souhaitée.
Car je n'ai pas envie d'acheter du matériel qui sera efficace ultérieurement avec l'usage des fils pilotes, et qui dans une utilisation banale provoquerait une détérioration électronique, car il y a une certaine époque, les radiateurs n'étaient pas munis de cette électronique et les thermostats avaient quand même une robustesse avérée.
Ma question : Quelle est l'explication au fait que l'on insiste sur la fragilité des thermostats électroniques : d’où vient ce défaut et comment y remédier.
Car si j'achète des radiateurs trop bien conçus électroniquement parlant, avec le risque évoqué, autant alors que j’achète des radiateurs tout simples et peu onéreux dans un premier temps, avec ajustement de la température au cas par cas, et qu'ensuite lors de l'usage des fils pilotes, j'achète des radiateurs plus sophistiqués.
Merci d'avance pour vos explications.
Cordialement.
23 mars 2020 à 08:58

Bonjour.
Merci de vos réponses, cela me permet de mieux comprendre et par là, de mieux élaborer mon installation : car ce n'est vraiment pas évident quand d'une part, on n'est pas du métier et qu'on veut le faire par soi-même, pour limiter le coût financier.
Et de surcroît, c'est encore moins évident quand on le fait en rénovation sur une ancienne maison, où on s’aperçoit ici ou là, que les règles de base n'ont pas été respectées : l'exemple de mon post précédent sur le DB où on ne devrait pas voir apparaitre les câbles réseau d'EDF sortir en dehors du capot et pouvant se toucher.
Bref, sur ce sujet, je reviendrais vers vous avec une photo meilleure car j'aimerais quand même pouvoir accéder au capot du DB et voir ce qui a été mal réalisé : de toute manière, j'ai les photos du jour de l'installation du DB comme preuve que le montage est en dehors des clous.
A titre d'autre exemple : j'ai retrouvé, une gaine encastrée en diagonale d'un mur et qui affleure un conduit de cheminée, fort heureusement, celui-ci n'est plus actif mais on peut se demander ce qui serait arrivé si j'avais installé un poêle à pellet.
Donc, pour en revenir à mon installation de chauffage électrique, avec 9KVA et 10.4 kW et raccordé actuellement entre DB et tableau principal avec du 10mm², j'ai toutefois une solution peut-être pas la meilleure à l'usage, auquel cas, je pourrais opter pour vos recommandations en 12kVA et avec du 16mm².
Je reviens un instant sur le choix de gaine ou goulotte et le choix de conducteurs ou câble : j'ai oublié l'histoire des fils pilotes, car dans ma question du bon choix, j'avais omis d'en parler : je suppose que, même si pour l'instant, je ne prends pas la décision d'installer un délesteur, il faudrait quand même que je réalise mes 8 lignes de radiateurs électrique avec 4 fils (3 habituels que sont phase, neutre et terre, et passer du fil pilote pour chaque ligne), cela pourrait ultérieurement me servir.
Dans ce cas, les calculs du volume d'occupation de section devront intégrer l'ajout du fil pilote, d’où ma question : existe t-il du câble en 4 fils dont le fil pilote qui y est intégré et si oui, le câble est-il plus intéressant et plus pratique à poser que le passage de 4 fils individuels (3 conducteurs + fil pilote) car à un moment donné, si j'opte pour un passage de conducteur dans une grosse gaine ou dans une grosse goulotte, cela va me faire un nombre important de fils et il sera difficile de s'y retrouver, alors qu'avec 3 ou 4 câbles dans une goulotte, ce sera plus facile de reconnaitre tel ou tel circuit.
Merci d'avance.
Dernière question : quand vous dites :
Merci de vos réponses, cela me permet de mieux comprendre et par là, de mieux élaborer mon installation : car ce n'est vraiment pas évident quand d'une part, on n'est pas du métier et qu'on veut le faire par soi-même, pour limiter le coût financier.
Et de surcroît, c'est encore moins évident quand on le fait en rénovation sur une ancienne maison, où on s’aperçoit ici ou là, que les règles de base n'ont pas été respectées : l'exemple de mon post précédent sur le DB où on ne devrait pas voir apparaitre les câbles réseau d'EDF sortir en dehors du capot et pouvant se toucher.
Bref, sur ce sujet, je reviendrais vers vous avec une photo meilleure car j'aimerais quand même pouvoir accéder au capot du DB et voir ce qui a été mal réalisé : de toute manière, j'ai les photos du jour de l'installation du DB comme preuve que le montage est en dehors des clous.
A titre d'autre exemple : j'ai retrouvé, une gaine encastrée en diagonale d'un mur et qui affleure un conduit de cheminée, fort heureusement, celui-ci n'est plus actif mais on peut se demander ce qui serait arrivé si j'avais installé un poêle à pellet.
Donc, pour en revenir à mon installation de chauffage électrique, avec 9KVA et 10.4 kW et raccordé actuellement entre DB et tableau principal avec du 10mm², j'ai toutefois une solution peut-être pas la meilleure à l'usage, auquel cas, je pourrais opter pour vos recommandations en 12kVA et avec du 16mm².
Je reviens un instant sur le choix de gaine ou goulotte et le choix de conducteurs ou câble : j'ai oublié l'histoire des fils pilotes, car dans ma question du bon choix, j'avais omis d'en parler : je suppose que, même si pour l'instant, je ne prends pas la décision d'installer un délesteur, il faudrait quand même que je réalise mes 8 lignes de radiateurs électrique avec 4 fils (3 habituels que sont phase, neutre et terre, et passer du fil pilote pour chaque ligne), cela pourrait ultérieurement me servir.
Dans ce cas, les calculs du volume d'occupation de section devront intégrer l'ajout du fil pilote, d’où ma question : existe t-il du câble en 4 fils dont le fil pilote qui y est intégré et si oui, le câble est-il plus intéressant et plus pratique à poser que le passage de 4 fils individuels (3 conducteurs + fil pilote) car à un moment donné, si j'opte pour un passage de conducteur dans une grosse gaine ou dans une grosse goulotte, cela va me faire un nombre important de fils et il sera difficile de s'y retrouver, alors qu'avec 3 ou 4 câbles dans une goulotte, ce sera plus facile de reconnaitre tel ou tel circuit.
Merci d'avance.
Dernière question : quand vous dites :
Citation :Je suis d'accord sur le principe dès l'instant ou les tarifs d'abonnement ne vont pas exploser au cours des 10 ans à venir.
4/ Un délesteur coûte au moins 250€. Passer à 12kVA coute environ 25€/an
Vous mettrez au moins 10 ans à amortir l'engin.
22 mars 2020 à 09:39

Bonjour,
Merci pour vos explications nettes : cependant, je reviens sur un aspect que je n'ai pas compris :
Mon autre question, revient à une de vos réponses concernant mon propos dans un précédent post quand j’affirmais qu'un délesteur ne servirait à rien pour délester une partie de mon habitation (rappel : besoin de 10.5 kW pour 6kW en bas en zone normale et 4.5 kW en haut pour du hors gel en majorité) car je vous indiquais à cet effet que le délesteur ne pourrait pas agir car désormais, ce serait le Linky qui disjoncterait en premier et donc rendrait inutile la pose d'un délesteur : je me basais sur un compteur Linky avec 9kVA et j'accordais 9000 watts.
Et pour être plus précis, cette information m'a été donné par le technicien lors de la pose justement du Linky.
Mon idée était la suivante : imaginons une consommation de 8000 watts en chauffage électrique et une pointe en éléments tels que les éclairages, télé, cuisine four et machine à laver en même temps représentant 1500 watts, cela me donne bien un total de 9500 watts : comment dès lors imaginer que le délesteur puisse déclencher à 9000 watts puisque le Linky fera la même chose, voire même un petit peu avant la barre des 9000 watts.
Si vous avez une explication qui stipule que le délesteur déclenchera avant le Linky : je suis preneur.
Car pour l'heure, je ne sais toujours pas si je dois ou non, installer un délesteur.
Bien évidemment, j'évoque ici une installation actuelle avec du 9kVA, il en serait autrement et plus facile avec un compteur à 12kVA d’autant plus que votre estimation de puissance porte à un maxi possible de 14 kW alors que je restais basé sur 12 000 watts, ce qui laisse largement ma consommation en chauffage de 10.5 kW s'effectuer sans aucun risque de faire déclencher un hypothétique délesteur, il suffira de mieux gérer les consommations ménagères habituelles.
Merci de votre attention.
Cordialement.
Merci pour vos explications nettes : cependant, je reviens sur un aspect que je n'ai pas compris :
Citation :Comment est-ce possible, quand on voit que la définition que l'on retrouve est toujours celle-ci : un compteur d'une puissance de 9kVA correspond 45 A et permet d'alimenter un logement jusqu'à 9000 watts : il manque avec votre estimation 1400 watts : Est-ce dû au mauvais calcul que nous sommes amenés à faire avec la formule habituelle P = U x I ; bref, j'approche votre chiffre en multipliant 230 volts par 45 ampères, là effectivement j’obtiens 10 350 watts.
A noter qu'un abonnement 9kVA c'est dans les faits 10,4 kW
Mon autre question, revient à une de vos réponses concernant mon propos dans un précédent post quand j’affirmais qu'un délesteur ne servirait à rien pour délester une partie de mon habitation (rappel : besoin de 10.5 kW pour 6kW en bas en zone normale et 4.5 kW en haut pour du hors gel en majorité) car je vous indiquais à cet effet que le délesteur ne pourrait pas agir car désormais, ce serait le Linky qui disjoncterait en premier et donc rendrait inutile la pose d'un délesteur : je me basais sur un compteur Linky avec 9kVA et j'accordais 9000 watts.
Et pour être plus précis, cette information m'a été donné par le technicien lors de la pose justement du Linky.
Mon idée était la suivante : imaginons une consommation de 8000 watts en chauffage électrique et une pointe en éléments tels que les éclairages, télé, cuisine four et machine à laver en même temps représentant 1500 watts, cela me donne bien un total de 9500 watts : comment dès lors imaginer que le délesteur puisse déclencher à 9000 watts puisque le Linky fera la même chose, voire même un petit peu avant la barre des 9000 watts.
Si vous avez une explication qui stipule que le délesteur déclenchera avant le Linky : je suis preneur.
Car pour l'heure, je ne sais toujours pas si je dois ou non, installer un délesteur.
Bien évidemment, j'évoque ici une installation actuelle avec du 9kVA, il en serait autrement et plus facile avec un compteur à 12kVA d’autant plus que votre estimation de puissance porte à un maxi possible de 14 kW alors que je restais basé sur 12 000 watts, ce qui laisse largement ma consommation en chauffage de 10.5 kW s'effectuer sans aucun risque de faire déclencher un hypothétique délesteur, il suffira de mieux gérer les consommations ménagères habituelles.
Merci de votre attention.
Cordialement.
21 mars 2020 à 18:16

Bonjour,
Merci de vos réponses que vous avez apportées à mes questions.
Sur l'embout EBCP, comme il y a un plombage sur le petit capot du DB (collier jaune), c'est donc une anomalie de montage, qui a été effectuée lors de la pose des compteurs Linky dans mon village (en 12/2017) : je prends note et j'appellerais donc Enedis d'ici quelques temps (au vu du confinement actuel) car ce n'est pas une priorité.
Mais enfin, je respire un peu et je comprends mieux maintenant ce que doit être une installation conforme. Donc conclusion : je ne ferais pas maintenant le changement en 16mm², j'attendrais que EDF connecte correctement leurs gros câbles réseau dans le DB et ainsi, ensuite, j'effectuerai le changement.
Concernant le DB, j'ai un 30/60 qui a été réglé par le technicien à 60A. Il m'a dit a l'époque que ce réglage me permettrait de modifier mon abonnement jusqu’à 12KVA, sans qu'il y ait une intervention à domicile, cette modification de l'abonnement étant piloté à distance par Enédis.
Donc au vu de votre réponse, si j'ai bien compris :
Si le DB est réglé à 60A, je peux garder malgré tout mon 10mm² et conserver l'abonnement à 9KVA et faire mon chauffage électrique de 10.5kW avec le risque de dépasser les watts que m'accordent l'abonnement à 9KVA. Donc je ne change pas mon installation.
Mais si j'opte pour du 12KVA, je dois passer en 16mm² : d’où obligation de corriger l'anomalie actuellement et dans cette configuration, j'ai droit à 12 000 watts que représentent l'abonnement de 12KVA et mon chauffage électrique à 10.5 kW est en dessous du maxi possible.
Et dans ce cas, je peux suivre votre proposition concernant la protection de mon tableau divisionnaire et suivre votre recommandation pour mettre toutes mes lignes de radiateurs sur un même ID 63A plutôt que de faire 2 rangées avec chacune un ID de 40A
Merci de votre réponse si j'ai un peu mieux compris.
Cordialement.
Merci de vos réponses que vous avez apportées à mes questions.
Sur l'embout EBCP, comme il y a un plombage sur le petit capot du DB (collier jaune), c'est donc une anomalie de montage, qui a été effectuée lors de la pose des compteurs Linky dans mon village (en 12/2017) : je prends note et j'appellerais donc Enedis d'ici quelques temps (au vu du confinement actuel) car ce n'est pas une priorité.
Mais enfin, je respire un peu et je comprends mieux maintenant ce que doit être une installation conforme. Donc conclusion : je ne ferais pas maintenant le changement en 16mm², j'attendrais que EDF connecte correctement leurs gros câbles réseau dans le DB et ainsi, ensuite, j'effectuerai le changement.
Concernant le DB, j'ai un 30/60 qui a été réglé par le technicien à 60A. Il m'a dit a l'époque que ce réglage me permettrait de modifier mon abonnement jusqu’à 12KVA, sans qu'il y ait une intervention à domicile, cette modification de l'abonnement étant piloté à distance par Enédis.
Donc au vu de votre réponse, si j'ai bien compris :
Si le DB est réglé à 60A, je peux garder malgré tout mon 10mm² et conserver l'abonnement à 9KVA et faire mon chauffage électrique de 10.5kW avec le risque de dépasser les watts que m'accordent l'abonnement à 9KVA. Donc je ne change pas mon installation.
Mais si j'opte pour du 12KVA, je dois passer en 16mm² : d’où obligation de corriger l'anomalie actuellement et dans cette configuration, j'ai droit à 12 000 watts que représentent l'abonnement de 12KVA et mon chauffage électrique à 10.5 kW est en dessous du maxi possible.
Et dans ce cas, je peux suivre votre proposition concernant la protection de mon tableau divisionnaire et suivre votre recommandation pour mettre toutes mes lignes de radiateurs sur un même ID 63A plutôt que de faire 2 rangées avec chacune un ID de 40A
Merci de votre réponse si j'ai un peu mieux compris.
Cordialement.
20 mars 2020 à 10:15
